Pdv Gon :
Après une longue journée de travail, je me dirige vers la maison des domestiques pour goûté à un repos bien mérité. Killua et moi nous ne nous sommes plus parlé depuis la mort de sa sœur. Il est convaincu que c'était moi le responsable vu que j'étais chargé de lui donner ses médicaments mais c'est Illumi qui les lui a donnés ce soir là pas moi. J'ai tenté de lui expliqué mais il n'a rien voulu savoir et m'a balancer ces choses atroces à la figure. Je ne suis pas en colère contre lui je suis juste triste. Triste parce que l'on m'accuse d'un crime que je n'ai pas commis, triste parce que malgré tout ce qu'on a partagé, Killua n'a toujours pas confiance en moi et surtout triste parce que dans mon malheur je pensais enfin avoir trouvé quelqu'un qui me comprenait. Mais je me suis visiblement trompé. Désormais, Killua ne fait attention à moi que pour me lancer des regard de mépris. Mais ça ne fait rien, même s'il ne veut plus être mon ami je serai toujours le sien et il pourra toujours compter sur moi. Car dès le premier jour où j'ai croisé son regard j'y ai lu la même chose que dans le mien même si il tentait de le dissimulé : de la souffrance. Nous nous sommes rapprocher en partie car nous sommes de âmes en peine tout les deux. Et même si pour moi plus n'est possible je voulais au moins le rendre heureux. Mais j'ai échoué. Perdu dans mes pensées, je ne remarque pas tout de suite que quelqu'un m'appelle. Je me retourne et tombe nez à nez avec Illumi. La colère monte aussitôt en moi mais je fais bonne figure, même s'il a tué Alluka il reste mon maître et je dois rester poli avec lui.
Gon : Oui maître ?
Illumi : Mon père te demande dans sa chambre.
Confus je le suis malgré tout vers la dite chambre. À mesure que nous avançons mon ventre se sert, j'ai un mauvais pressentiment sans savoir pourquoi comme s'il allait m'arriver quelque chose. Arrivé devant la porte, je toque jusqu'à ce que la voix grave du père Zoldyck me dise d'entrer. Je pénètre donc dans la pièce et trouve monsieur Zoldyck assit sur son lit.
Monsieur Zoldyck : Gon mon garçon j'ai à te parler
Gon : C'est grave monsieur ?
Monsieur Zoldyck : Oh non ça concerne ton rôle dans cette maison je dois t'expliquer certaines choses.
Le sourire malsain qui me lance le fait frissonner, mais je ne laisse rien paraître.
Gon : Je vous écoute monsieur
Monsieur Zoldyck : Bien comme tu le sais déjà ton père me devait énormément d'argent et c'est la raison pour laquelle il t'as donner à moi.
J'acquiese et il continue.
Monsieur Zoldyck : Je t'ai donc pris à mon service bien que je ne voyais pas en quoi un enfant tel que toi pourrait me servir. Jusqu'à récemment.
Tout en parlant il s approche de moi et posé deux doigts sur menton.
Monsieur Zoldyck : Tu est beau Gon et beaucoup de mes associés sont près à payer très cher pour profiter de toi.
Mon sang se glace quand je comprend ce qu'il insinue.. Il veut me.. Prostituer !!
Monsieur Zoldyck : Ta virginité me rapportera énormément d'argent. Mais comme tu est encore trop jeune pour te faire prendre, pour l'instant nous allons juste t'entraîner.
J'essaie de courir vers la porte mais il l'attrape fermement et m'oblige à me mettre à genoux. Il ouvre son pantalon et je commence à pleurer.
Gon : S'il vous plaît... Non
Monsieur Zoldyck : Allons Gon ce n'est pas si terrible. Et puis vous le bon côté des choses de cette façon tu pourras rembourser la dette de ton père et tu seras enfin libre toi et ta tante.
Je pense à ma tante. Avant que je ne parte les agents des Zoldyck ne faisait que nous harceler si bien que tante Mito à du quitter notre maison pour être en sécurité.
Gon : Si... Si j'accepte tante Mito et moi nous ne vous devront plus rien ?
Monsieur Zoldyck : Tu as m'a parole
Il pousse ma tête vers son entrejambe et tout en pensant à ma tante je commence