-SALE PUTE! TU N'EST RIEN SANS MOI!
Je crispe le visage en faisant mes valises dans la chambre conjugale. Il m'a toucher une fois de trop! Cette fois, j'en ai marre! Je ne suis pas venue sur terre pour être à la merci d'un italien prêt à tout pour obtenir ma main, même à lever la sienne contre moi!
Je ne l'écoute plus. Il est ivre et incapable de géré ses émotions. Encore une fois! Je ferme ma valise qui contient que je le strict nécessaire. Je place une main sur le collier que j'ai dans mon cou. Je ferme les yeux un instant pour ressentir sa présence. Je sais qu'il est proche. Il a toujours été près de moi. Il ne m'a jamais quitter.
C'est comme si il était derrière moi et qui me donnais la force d'enfin partir de cette ville. Rome... S'est censé être la ville bien aimer, où tout le monde aime aller. Mais en vérité, c'est la ville de mes cauchemars.
Je ne sais plus où aller, mais je dois changer de continent. Aller loin de l'Europe. J'ouvre les yeux doucement et regarde la carte que j'ai laisser sur le lit. Alors que mon crétin de fiancé frappe avec force contre la porte de chambre pour la défoncer, moi, je choisis ma nouvelle destination.
Je prends ma valise, la balance en même temps que mon corps en dehors de la chambre par la fenêtre. Ayant eu une adolescente particulier, je suis très bonne en escalade. Je relève la tête alors que je touche le sol. J'entends un juron italien provenant de la chambre où je me suis enfuit. Je ne prends pas le temps de vérifier si Enzo est à la fenêtre, je m'enfuis rapidement en courant. Bouscule des personnes sur le chemin. Je m'excuse par le fait même.
Une fois dans les seuls chemins de la ville, je siffle pour un taxi. Quand je parle de taxi, je dis bien un des mecs qui me sert de conducteur. Ses mecs avec qui j'ai passer le plus claire de mon temps à faire l'idiote dans les courses illégales. Mais ça, c'est une autre histoire!
À l'intérieur du véhicule, je rigole en même temps que l'homme qui conduit.
-Alors, tu vas où?
-Conduit moi à l'aéroport s'il te plais. N'avertis pas ma famille. Je serais dans la merde.
Mon chauffeur hoche la tête en mettant la pleine puissance. Je souris doucement en me laissant guider par le vent que la liberté me provoque!
***
Après de longues heures de vols, je descend de l'embarcation. Je récupère mon seul bagage et me dirige vers la sortir de l'aéroport. Je suis rapidement frapper par les bruits que constituent la ville. New-York. La grosse pomme. La ville, qui sera la mienne.
Je souris doucement en me dirigeant vers la traverse piétons. Mais aussi-tôt, je sens une voiture pratiquement me renverser. Je me stoppe, prête à frapper sur le véhicule. Mais je m'arrête en voyant le bolide. Wow! Une grosse marque!
Je remarque que le chauffeur me klaxonne. Je lui répond avec un doigt d'honneur. La porte s'ouvre. Je vois un mec au cheveux brun semi-long, en sortir. Je le regarde toujours.
-Tu va rester là longtemps?!
-Toi, tu vas renverser combien de personne?!
Toute trace de colère quitte ses trais. C'est plus tôt un sourire en coin qui y trône à présent. Je roule des yeux. Un autre frimeur.
-T'a du mordant dis dont!
-Certainement pas pour toi connard. Maintenant, j'ai une vie à faire!
Je ne lui laisse aucune chance de répondre. Mes cheveux long que j'ai envie de couper, de couleur noir comme ma mère, volent au vent. Je replace mes lunettes sur mon nez. Bien que je porte des verres de contact parfois, aujourd'hui j'ai opter pour mes lunettes traditionnelle. Je reprends ma route. Laissant cet emmerdeur en plant.
Je me trouve rapidement un appartement. Il est petit, mais très simple. J'ai pas besoins de quelques chose de luxueux. Je fini de placer mes choses dans mon nouveau chez moi. Je redresse mon corps de sur ma commode et me fixe dans le miroir au dessus de celle-ci. Je crispe le visage en voyant mes cheveux. Je prend une paire de ciseau que j'ai acheter en chemin. Je me dépêche de couper mes cheveux près de mes épaules. C'est une bonne longueur que j'ai retirer, mais pour moi, c'est une libération. Nouvelle vie, nouvelle tête!
Je suis Mila-Yuna Ikeda-Casteli. Mais dorénavant, je serais Yuna Ikeda. Une japonaise à part entière. Et non une italienne.
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Savoir le dire:Matt(Is It Love)
Hayran KurguJe n'ai jamais sur dire, je t'aime. Je n'ai jamais pus ressentir quelconque émotions avers un homme. Que de la peur, de la tristesse. J'ai été forcer à aimer, à vivre, à fiancer. Un homme que j'aimais pas. Mais maintenant, je suis libérée de tout ça...