⛓ 𝔄𝔳𝔢𝔯𝔰𝔢 🕷

1.6K 125 40
                                    

(**Averse, avec cette police le titre n'est pas très lisible désolé)
—————————-

Une semaine plus tard:

PDV Kurapika:

Voilà déjà une semaine que je n'avais pas vu Kuroro. On avait eut l'occasion de se parler chaque jour, mais je n'avais pas assez de temp pour le voir. J'avançais donc mon travail le plus possible histoire d'avoir un jour libre. Et alors que je lisais mon livre, j'entendis mon téléphone sonner. Une petite pause de 5 minutes pour répondre à ce message ne devrais pas poser de problème.

De Kuroro:
J'ai envie de te voir...

À Kuroro:
Moi aussi, mais tu sais que j'ai pas
mal de boulot, faut que je garde un
rythme quand même, puis j'essaye
d'avançais pour.

De Kuroro:
Je peux t'aider, je vais chercher des
infos pour toi sur internet.
Et comme ça j'en profiterais pour
passer du temp avec toi.

À Kuroro:
Je veux bien, mais tu risque de t'ennuyer,
c'est pas top un rendez-vous
pour travailler.

De Kuroro:
Je suis là dans 15 minutes.

Je continuai ma lecture en l'attendant. Plus tard j'entendis ma porte sonner. Je l'ouvrir, et tomba sans trop de surprise sur Kuroro.

- Coucou, je nous ai pris ça en venant!

Il tenait une boisson dans chacune de ses mains.

- Merci, vas y rentre.

- C'est mignon chez toi.

- Merci, installe toi là si tu veux.

Lui dis-je en pointant mon canapé du doigt.

Il s'assit alors.

Au final on avait plus parler que travaillé... Prévisible. Bon j'avais quand même avancé. Ça nous a fait faire d'une pierre deux coups.

- Bon j'y vais, j'ai un truc de prévu ce soir, a bientôt!

- Attend! Heu, tu penses qu'on pourrait se revoir quand?

- Dans deux jours t'es dispo? On pourrait aller se balader en forêt, je connais des sentiers sympa.

Je lui offris un grand sourire.

- C'est bon pour moi. À dans deux jours!

Deux jours plus tard lors du rendez-vous:

- On est bientôt arrivé, j'ai hâte que tu vois ça!

- J'espère bien, je marche pas depuis deux heures pour ne rien voir!

- Ne te plaint pas trop non plus, on a de la chance, le soleil n'est pas au rendez vous.

Je leva alors la tête.

- Si tu veux mon avis il va pleuvoir.

- Mais non ne t'inquiète pas! Je suis sur que le beau temp va revenir!

- Si tu le dis...

- On y est!

Je m'approchai de lui, et regardais au delà des barrières se dressant devant nous. On était au bord d'une falaise, et en contre bas on pouvait apercevoir toute la ville.

- De nuit ça dois être encore plus beau.

Lui dis je émerveillé.

- On pourrait essayer de revenir un soir si t'en a envie.

- Huum enfaite je sais pas... Ça fais beaucoup à marcher quand même, en plus j'ai les jambes en compotes.

Je lui fis en rigolant.

Je le vis lever la tête au ciel.

- T'avais raison, il commence à pleuvoir.

Je levai alors moi aussi la tête au ciel en tendant également ma main pour sentir éventuellement des gouttes de pluie.

- On ferait mieux de rentrer avant que ça ne soit le déluge.

- Je pense que tu as raison.

On prit alors la même route pour le retour qui se passait plus rapidement. On arrivait au début du sentier, et la pluie commença à tomber plus violemment.

- Part là, y'a un toit pour s'abriter!

Je le suivit en courant jusqu'à un bâtiment. Nous étions collés contre le mur, au sec. Puis je me mis à rire.

- On a eut de la chance, on est pas si trempé que ça au final.

- T'as raison.

Puis silence, aucun de nous ne parlait. À la place, on se regardait tout les deux dans le blanc des yeux. Se dévorant chacun du regard. On jetait parfois de vif coup d'œil sur les lèvres de l'autre, sans pour autant s'y attarder. On en avait tout les deux envie. Ce n'était pas la première fois, mais cette fois, j'avais envie de franchir le pas. Cependant Kuroro me devança, posant sa main sur le bas de mon dos, collant mon corp contre le sien. On ne se quittait toujours pas du regard, et plus les secondes passaient, plus nos lèvres se rapprochaient de plus en plus, jusqu'à ce que finalement, elles se touchent. On partit alors dans un doux et langoureux baiser, mouvants nos lèvres ensembles. On fini par les détacher un peu après, sans pour autant décoller nos corps. On gardait cette position jusqu'à ce que l'averse ne passe, que nous puissions reprendre notre route...

•𝕁𝕠𝕦𝕣 𝕕𝕖 𝕡𝕝𝕦𝕚𝕖•  [𝙺𝚞𝚛𝚘𝚙𝚒𝚔𝚊]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant