"𝒯ℯ𝓈 𝓎ℯ𝓊𝓍 𝒶𝓅𝓅ℯ𝓁𝒶𝒾ℯ𝓃𝓉 𝒶̀ 𝓁'𝒶𝒾𝒹ℯ" 💥 [ 𝔎𝔞𝔱𝔰𝔲𝔡𝔢𝔨𝔲 ] 💚

Partie 15

Nda: Je m'excuse pour le temps que j'ai mis a poster cette partie mais rentrée et internat oblige: j'ai pas de temps. J'ai quand même essayé de bosser sur la fanfic mais cette partie étais hyper spéciale a écrire. Ça m'a pris donc encore plus de temps donc encore une fois je m'excuse. D'ailleurs, comme je l'ait dit avant cette partie peut choquer certaines personnes (si vous préférez pas lire cette partie je comprendrais et dites le plz comme ça je mettrais un mini résumé de cette partie dans la prochaine) bref, je vois retient pas plus longtemps bonne lecture et merci d'être autant a lire cette fanfic et a mettre des votes ça me fait super plaisir.
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Point de vue de Katsuki:

Ma "mère": VA T'OCCUPER DE LUI!!

Mon père: mais tu te rends compte de ce que tu me demandes?

Ma mère: TU VEUX VRAIMENT ME CONTREDIRE??

Mon père: ... j'y vais

Ma mère : et fais attention, je saurais si tu me le fais pas!

Mon père:...

Moi: *cours dans ma chambre*

Mon père: Katsuki Bakugo!

Moi: Quoi?!

Mon père: je suis dans l'obligation de te rappeler à l'ordre

Moi: Hein? Si c'est par rapport au fait que je viens de vous avouer que j'aime les hommes, ça ne changera rien!!

Mon père: C'est pour ça qu'avec ta mère nous avons décidé d'employer la manière forte!

Moi: Je comprends plus ri-

Je m'en souviens. Il étais tard. Il pleuvait dehors. Je venais de leur avouer mon homosexualité. Ma mère avait très mal réagit. Mon père n'a rien dit... et ce soit là non plus. Il est arrivé dans ma chambre et m'a dit qu'il allait passer à la manière forte. Je ne comprenais rien, loin de m'imaginer jusqu'où il pouvais aller même si j'avais écouter sa conversation avec ma mère. Cette conversation n'avait ni queue ni tête encore à mes yeux mais maintenant je me dis que si j'avais fui à ce moment là, je m'en serais sûrement sorti avec moins de cicatrices...

Il est rentré dans ma chambre et avant de pouvoir lui poser la moindre question, il détacha sa ceinture à une lenteur qui me semblait comparable aux mouvements spaciaux. Il y a deux sortes de peurs: celle due à l'adrénaline et celle que l'on ressent quand on craint pour sa vie. A ce moment là, je découvrai la deuxième définition de la peur. Je voulais m'échapper de cet enfer qui ne faisait que commencer mais si mes jambes auraient voulues bouger, je n'aurais pu passer la porte que mon père tenait fermée.

Il a donc décroché sa ceinture et j'ai commencé à comprendre ce que voulais dire "la manière forte". La palpitation de mon cœur résonnait dans tout mon corp à une vitesse qui contrastait avec les mouvements de mon bourreaux.

Plus ne temps avançais et plus mon père déboutonnait et abaissait son pantalon ainsi que son caleçon. Son visage me faisait signe de m'agenouiller cependant mes jambes ne voulait bouger. Des larmes coulent long de mes joues et mon cœur faisait tellement de bruit que je n'entendais plus que lui et les bruits de pas de mon père qui se rapprochaient de moi. J'ai alors levé la tête vers la source de ce bruit. Je vis alors mon père se rapprocher de moi, le pantalon et le sous-vêtement descendu au milieu de ces cuisses. Je ne voulais plus rien voir, je ne voulais plus vivre. À ce moment là je me souviens m'être dit: "si tu survis à ça tu ne pourra plus jamais te regarder dans le miroir ou même le regarder dans les yeux. Ton seul moyen est de prier pour mourir avant qu'il ne fasse quoi que ce soit ou de te donner la mort cette nuit".

Les yeux fermés, je senti la langue de mon père, attraper ma larme. Mais ce n'est malheureusement pas la seule chose que j'ai senti... Mon père profitais d'être très proche de moi pour coller son érection à mon membre. Après avoir entendu mon père avaler sa salive et par la même occasion ma larme, une force s'appuya sur mes épaules, afin de me faire m'asseoir. C'est alors, contre le mur du fond de ma chambre, complètement tétanisé que le pénis de mon père s'est posé sur mes lèvres.