PDV Thomas :
-"... Voilà plusieurs semaines que je pense à la meilleure façon de te l'annoncer mais je n'ai plus la force d'attendre. Depuis la disparition de Charlie, tu n'est plus le même et ce n'est pas ainsi que tu retrouveras ton fils. Prends soin de toi, Grâce.
P. S : Douglas le chien d'oscar doit être nourrit en Croquettes. Kiss. "Lorsque je reposai la lettre sur la table où je l'avais trouvée, mes mains tramblaient. Pourquoi ne l'avais-je pas vu venir ? Je prévois toujours tout mais là, Grâce m'avait pris au dépourvu.
Alors que je réfléchissait à la façon dont elle a avait put penser ça, ma famille se passait un à un la lettre, comme s'ils pensaient pouvoir disserter un indice.
-Elle est partit. Dis-je dans un souffle en me rongant l'ongle. Elle est partit et je n'ai pas été capable de la retenir.
Ma tante, en bonne mère qu'elle soit, s'assied à côté de moi, m'obligeant à la regarder :
-Je n'ai pas toujours aimé grâce mais je n'ai jamais douté de don amour pour toi ; les femmes ressentent ce genre de choses et ça se lisait dans ces yeux.
-alors vas-y Polly, munis-toi de ton instinct de femme et dis-moi où elle est partit ! Grognais-je avant de me lever et de partir vers mon bureau.
Alors que je passait le salon à grand pas, Rebecca m'interpelle en brandissant la lettre :
-elle n'est pas partit Tom... On l'a forcée.
Le silence tomba soudainement dans la maisonnée et tout les visages se tournèrent vers elle. Je réduisait la distance entre elle et moi à grands pas et lui arracha la lettre des mains.
-Pourquoi tu avances cela ? Demandais-je sur les nerfs.
-parce qu'elle a pleurée en écrivant cette lettre.
-chaque femme pleure en quittant son mari.
Arthur gloussa :
-surtout quand il s'agit de toi frérot !
Rebecca lança un regard noir à l'aîné qui s'ecxusa. Elle se tourna à nouveau vers la lettre et pointa du doigts un "g" mal écrit.
-regarde l'écriture Thomas. On le sais tous ici, Grâce à une écriture magnifique ; fluide et harmonieuse. Pour faire autant de ratures et de fautes, elle devait être stressée.
-Et où l'a t'on emmener d'après toi ?
-Au Docks... Soupira Polly dans la fumée de son cigare.
-et tu sors ça d'où ?
-qui est Douglas ? Et qui est Oscar ? Elle sourit malicieusement. Personne. Maintenant Thomas, lit les lettres de chaques mots en majuscules et assemble les.
Je levai les yeux aux ciels mais ne me fit pas prier. En trouvant la réponse attendu, j'ecarquilla les yeux, fessant sourire ma tante.
-D. O. C. K.
-et oui Thomas... L'instinct de femme, que veux-tu.
Je ne préférai pas relever sa remarque et me leva d'un bon avant d'enfiler mon manteau. Avant de partir, suivis d'Arthur et Michael, je me tournai vers Rebecca et la pointai du doigts :
-Assurés-toe que ton italien soit au courant qu'on déboule dans son quartier, j'ai pas envie de me le farcir !
-Respecte-le avant et on verra par la suite. T'as qu'à l'appeler d'ailleurs parce que moi, il ne me répondra pas.
Face à sa remarque désespérée de sa situation de couplé, je fut gêné et me racla la gorge avant de me tourner vers Michael :
-Appel-le et rejoins-moi au Garison quand tu aura la réponse. Je ne t'attendrai pas une heure alors tu te grouille sinon... Sinon j'agirai qu'il le sache ou non.
Michael, sans jeter un seul regard à sa sœur, acquieca et quitta la maison de ce pas. Outrée, Rebecca se tourna vers moi, avec ce regard déstabilisant qui n'appartient qu'à elle :
-Et tu ne vas rien faire ?
-pour quoi ? Haussa is-je un sourcil.
-C'est de ta faute si il ne me parle plus et je ne te laisserai pas rester les bras croisé sans rien faire !
-Ce n'est pas à moi de régler vos histoires de couplé puéril Becky... Maintenant si tu remets, j'ai a faire.
Sans plus un mot, je remis ma casquette et quitta à mon tour la maison.
C'est fou ce qu'on a tendance à sous estimé le pouvoir mais surtout l'intelligence de la Femme. Alors qu'elle devait être sous pression, Grâce à réussi à insérer un message codé pour m'indiquer où elle serait.
Tout en me dirigeant d'un pas mécanique vers mon bar, je réfléchissait à un moyen d'extraire ma femme de ce merdier sans nom.
Je poussa en même temps les portes du bar et commend une bouteille de Jin avant de m'enfermer dans la petite salle.-Alors ? Un plan ?
Je me tourna et regarda Arthur s'abreuvant de wiskhy de bon matin.
-pas vraiment et-
-et bha moi, si !
Je le regarda d'abord impressionner avant de lever mes yeux aux ciel en me rappelant que tout ses plans foiraient.
-j'espère qu'il en vaut la peine Arthur parce que tes autres plans... Comment dire...
-c'était de la merde en boîte ! Gloussa John.
-non les gars, je vous assurent c'est de la balle c'te fois ; j'ai peut être pas l'esprit très lucide mais c'est LE plan parfait !
-Vas-y alors, je t'écoute.
-On va se servir du problème de couple des deux tourtereaux. On dit à Rebecca que l'italien veut la voir et elle va lui courir après ; ensuite, elle devient le point de cible des russes et nous on s'infiltre !
Je souffla lourdement. Ce plan de mettre Rebecca au cœur du conflit et de jouer avec ses sentiments me semblait risqué.
-et tu as pensé à l'après ?
-quel après ? On gagne et on rentre. De son côté Becky aura renoué avec Loucas et je porterai désormais le nom de Cupidon.
Je haussa les sourcils, étonné de la referance de mon frère :
-tu as pensé au fait qu'elle est une femme ?... On ne joue pas avec les sentiments d'une femme, Arthur.
Ce dernier soupira et se gratta l'arrière du crâne avant de replacer sa casquette :
-elle devra s'y faire parce qu'elle n'a pas le choix mais ne t'en fais pas Tom, elle ne bronchera pas... Vu ce qu'elle a déjà vécu.
Sur ces mots, mon frère quitta le bar en grognant sur un homme qui d'écart de son passage. Arthur était peu être bourru mais il aimait sa famille ; il venait encore de prouver qu'il avait, malgré tout, accepté sa nouvelle cousine et j'en était ravi.
Lorsque je rentrai à la maison, vers vingt heure, après avoir préparé mes hommes de mains et chargés les armes avec Michael, je fît venir ma cousine.
Lorsque cette dernière arriva, ses yeux semblaient gonflés, encore une fois. Bien que je sache garder mes émotions bien cachées, ça me fessait toujours de la peine de la voir comme ça.
Bien que je lui mentais, ça soir, j'avais la solution.-assieds-toi. Lui soufflais-je doucement en lui présentant une chaise.
Rebecca fronça les sourcils en le détaillant :
-Tu sembles bien nerveux pour un Shelby... Qu'est ce que tu veux cette fois ?
-Ton bien, Becky... Ton bien. J'ai reçu un appel de Loucas et... Il voudrait s'excuser de t'avoir abandonné.
-Benh tient... Et pourquoi ne m'a t'il pas appeler directement ?
-parce qu'il ne voulais pas t'entendre lui raccrocher au nez.
Rebecca s'apprêtait à enchainer mais, voyant l'heure tournée, je coupa court à la conversation et déclara en me levant :
-Allez Becky, habille-toi et va rejoindre ton abruti.
Ma cousine, arborant un sourire scintillant, sortit de la pièce.
VOUS LISEZ
Au nom du sang
FanfictionBirmingham, 1944. Alors que la famille Shelby assoit son pouvoir par la terreur de leur gang nommés les "Peaky Blinders", de vieux souvenirs douloureux refont surface. Rebecca Gray, membre de la famille présumée morte réapparaît et expose malgré ell...