-bonsoir messieurs...
L'homme russe, en me voyant, posa son verre de vodka et me dévisage à de la tête au pied. Il grogna et son regard s'emplit de désir... Si il croit que je suis là pour ça, il peut se la foutre ou je pense !
Loucas s'avança devant le bureau et me présenta une chaise sur laquelle je m'assois. Une fois tout les trois assirent, il me demande le plus solanellement possible :-mademoiselle Shelby, qu'est ce qui vous amène.
-je me permets de vous déranger aussi tard pour vous parler d'une requête que voudrait vous faire mon cousin, Thomas Shelby. Malheureusement, je vous voit déjà bie nassez mal entouré comme ça...
-mal entouré ? J'espère pour vous que vous ne pensez pas à moi en disant cela. Gronda le vieux russe.
Bingo.
-vous voyez un autre déjanté ici monsieur... ?
-Alexander... Mais pour toi ça sera monsieur Pravik.
-(je lui souris) Merci Alexander.
Le russe se redressa sur sa chaise et glissa sa main vers sa veste. Je sentis Loucas se tendre aussitôt ; il ne fallait pas que la situation m'échappe.
-très bien monsieur Pravik, j'arrêterai de vous chercher si vous ne touchez pas aux deux armes de poing que vous avez sous votre veste.
Le russe me concidera longuement et dût se rendre compte qu'il ne servait a rien de rendre des comptes maintenant. Lorsqu'il se rassit, mon regard percuta celui de Loucas dans lequel je lisais plus d'inquiétude que je n'aurai pus le croire. Ce mec est vraiment dangereux.
-allons, calmons le jeu à présent. Déclara Loucas sans me lâcher du regard. Quel requête souhaiterai votre cousin ? Et comment me connait-il d'ailleurs puisque je viens de m'installer ?
En me disant cela, je compris que mon acolyte me donnait des infos sur les mensonges qu'il avait donné au russe. Je changea alors de plan :
-Et bien il souhaiterai faire votre connaissance plus amplement. Vous devez bien vous imaginer que vous le déranger quelque peu en vous installant sur son territoire...
Je me tourna vers Pravik :
-tout comme vous.
Le dénommé se leva rapidement et s'approcha de moi. Certes je suis plus petite que lui mais je préféra tout de même me lever à mon tour. Alors qu'il s'avança vers moi, il me déclara froidement :
-partout où je vais, je suis chez moi... Va falloir que tu rentre ça dans le crâne miséreux de ton cousin, minette.
-étrangement, sa façon de voir son territoire se rapproche beaucoup de la vôtre.
-alors nous irons régler ça entre homme (son regard se baissa vers le haut de ma poitrine apparent) mais je pense que nous pouvons déjà en régler une partie ensemble, non ?
-ASSEZ ! Monsieur Pravik, faites preuve de bon sens. objecta l'italien à travers la pièce.
A contre cœur, le russe se décrocha de moi et je pus moi-même me decoller du mur sur le quel j'étais coincé. Lorsque je me rassis, je lança un regard remerciant à Loucas qui me le rendit d'un signe de tête. Il se tourna alors vers le russe et déclara en se levant :
-et bien monsieur Pravik, je pense en avoir fait le tour avec vous. Si vous avez une quelquonc question je reste naturellement à votre disposition.
-vous... Vous n'acceptez pas le traité ?
-non. Je ne suis aucun traité ; ni avec vous, ni avec d'autre mafia.
Les deux hommes se serrerent la main et, malgré son mécontentement, me serra aussi la main. Avant de me la lâcher, il tira dessus, me fessant s'approcher de son visage :
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Au nom du sang
FanfictionBirmingham, 1944. Alors que la famille Shelby assoit son pouvoir par la terreur de leur gang nommés les "Peaky Blinders", de vieux souvenirs douloureux refont surface. Rebecca Gray, membre de la famille présumée morte réapparaît et expose malgré ell...