Le retour du cheikh [Tome 2]

Chapitre 18.

(Chambre du cheikh en média)

Il saisit sa nuque pour l'attirer à lui, et sa bouche se dirigea d'elle même sur son cou fin et parfait. Il parsema de baiser sa gorge pendant qu'elle envoyait sa tête en arrière pour lui facilité le passage, et il l'allongea sur le matelas, en dessous de lui.

Il mit la main sur sa cuisse, pour la plaqué contre son bassin, et mordilla la peau de son cou, pendant que sa respiration à elle se faisait erratique, et que sa poitrine se soulevait rapidement. Il lui arracha pratiquement sa brassière, laissant à l'air libre la petite poitrine de la jeune femme, et celle-ci les cacha immédiatement, en rougissant.

Naïm fronça les sourcils en dégageant ses mains de son corps.

- Ne te cache pas, tu es magnifique Vassili, lui dit-il alors qu'elle déglutissait.

- Je les trouve trop petit et...

Il barra sa bouche avec ses lèvres, pour la faire taire, et engloba un de ses seins avec sa main.

- Ils sont parfait, n'ai jamais honte ma douce... lui glissa t-il à l'oreille en pinçant son téton, ce qui la fit sursauter et gémir en même temps.

Il s'écarta d'elle un instant, pour enlever son jogging qui compressait son érection phénoménale, alors qu'elle attendait, jambes écartées, vêtue seulement de sa pauvre culotte en dentelle. Il ne se rallongea pas sur elle, et préféra attraper ses jambes pour l'attirer au bord du lit d'un seul coup, et passer sa tête entre ses cuisses, alors qu'elle rougissait encore, de peur d'être jugé ou d'être critiqué.

Elle le regarda faire, remontée sur ses coudes, mais lorsqu'elle le vit approcher ses lèvres de sa culotte, elle préféra se laisser tomber sur le matelas et mettre les mains devant son visage, pour cacher sa gêne. Le cheikh l'ayant observé faire, écarta encore plus ses jambes pour pouvoir y passer, et passa sur elle, pour enlever ses mains qui la cachait.

- Vassili, ne te cache pas, je te l'ai déjà dis tu es magnifique à mes yeux... susurra le souverain, qui la regardait totalement émerveillé.

- Tu trouves vraiment, ou tu me dis ça juste pour me faire plaisir ? Lui demanda t-elle, totalement effrayé sous les yeux durs du cheikh.

- Je ne mens jamais, habibi.

Il retourna entre ses jambes à la hâte, presser de pouvoir la goûter, et embrassa d'abord son ventre, qui se rentra un peu sous l'effet de surprise, ce qui fit sourire Naïm. Vassili, dont la tête marchait encore à mille à l'heure, décida d'arrêter de réfléchir, et se détendit aussitôt.

Naïm était quelqu'un de confiance, il n'allait pas lui faire du mal.

Alors qu'elle sentit sa culotte glisser de ses hanches, elle se redressa, pour affronter le regard du cheikh sur sa peau, et elle ne fut pas déçu. Il l'a regardait comme la huitième merveille du monde, avec des yeux brillant de désirs, et approchait sa bouche de ses replis les plus intimes... Quand celle ci se posa dessus, elle sursauta sous la sensation, et regarda le cheikh totalement la dévorer. Ses coups de langues ajouté à ses succions constantes faisait monter en elle un feu qui la consumait entièrement, et la fit agripper les draps si fort, que ses jointures blanchirent.

Il la maintenait par les hanches, pour ne pas qu'elle bouge trop, ce qu'elle avait très envie de faire, pour se soustraire de ses assauts qui la rendait folle.

Alors qu'elle allait jouir, il s'éloigna, et elle poussa une plainte de déception. Il sourit largement face à cette réaction, et cette fois-ci, enleva son caleçon, dernière barrière entre leur deux corps. La jeune femme retint un instant sa respiration, consciente de ce qui allait se passer, alors que l'homme dont-elle observait les moindre détails, se plaça entre ses jambes doucement.