« Toi fuck ton amour, j'en veux pas. » HRTBRK #2 - Kaza
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Jeudi - 7h26
Je me suis levée pour allez la rejoindre dans la cuisine, elle était déjà toute prête alors que moi je venais de sortir de la salle de bain pour me laver la bouche.
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J'ai détaillé sa tenue comme d'habitude puis je me suis assis en face d'elle pendant qu'elle mangeait ses Frusties.
Moi : Ça va ?
Vent.
Moi : Allô ?
Vent.
J'ai arquée un sourcil, j'ai pouffé. Elle allait pas jouer à ca quand même, c'est ce comportement de gamine que je n'aimais pas chez elle.
Moi : Si ta un soucis dis le moi directement mais m'ignore pas, tu sais très bien que je détestes ça.
Aucun bruit, que le bruit de sa grosse mâchoire entrain de manger.
Moi _ se lèche la lèvre : J'te parle.
Je me suis rapproché d'elle et j'ai secoué son bras, wAllah elle commençait à m'énerver.
Moi _ hausse le ton : Vas-y arrêtes de faire ta gamine là.
Toujours aucun regard, j'ai pris son bol et je l'ai balancer par terre. Elle m'a regardé choquée, elle savait comment j'étais et elle me provoquait. Je détestait son comportement.
Moi _ durement : Ça fais deux trois jours tu me rends fou Namiraa, tu me provoques pourtant tu me connais. Continue.
Puis je suis parti, je détestais son comportement wAllah. J'ai lu quelques pages du Coran pour m'apaiser et je suis allez me laver.
Après m'être sapper, je me suis dirigé vers la cuisine pour prendre ma bouteille d'eau. J'ai vue qu'elle avait nettoyé les dégâts, j'ai levé les yeux au ciel.
Après vingt minute de route, je suis arrivé à la salle et directement Samia est venu me voir. Aujourd'hui j'étais d'accueil.
Samia : Coucou tu vas bien ?
Elle était dans une combinaisons assez serré, bizarre pour venir faire du sport. Mdr elle.
Moi : Bien et toi?
Samia : Ça va, tu peux venir m'ouvrir mon vestiaire s'il te plaît ? Il est bloqué je crois.
J'ai pris la clé des vestiaires puis je suis allez jusqu'au sien, on est rentré dans la salle commune puis jusqu'aux salles privatisés. J'ai ouvert son vestiaire et quand je me suis retourner vers elle elle m'a poussé dedans. Elle a fermé la porte derrière elle en ouvrant sa combi' laissant sa forte poitrine à mes yeux.
Moi : Et du coup?
J'ai vue que d'un coup elle s'est senti conne, elle a vraiment cru j'allais la baiser la ? J'suis puceau jusqu'à l'os, je vais pas baiser une crasseuse.
Moi _ rit amèrement : Rhabille toi et casse toi d'ici.
Je suis passé à côté d'elle en poussant son épaule et j'ai fermé la porte derrière moi. Ridicule.
20:30
J'avais traînée un peu avant de rentrée ne voulant pas avoir le coeur rempli de haine. J'ai ouvert la porte et je suis allez dans la cuisine pour me laver les mains, elle faisait de la lasagne, mon plaît préféré. Je ne l'ai pas calculer et je suis allez me foutre devant la télé pour jouer à la play.
Je l'allume et l'écran s'allume sur Fifa21, le temps que je réagisses elle était assise sur mes genoux.
Namiraa : C'est pour m'excuser sur comportement d'enfant et de merde que j'ai eu ce matin. Je sais que tu détestes quand je suis comme ça mais moi je veux que te provoquer alors je suis passée à Carrefour pour t'acheter ça.
J'avais pas les mots j'étais juste zga heureux, en plus elle m'avait fait les mises à jours eh j'étais trop heureux.
J'ai embrassé son front, sa joue.. J'en voulais tellement plus mais je me suis retenu. Elle riait pendant que je l'agressais d'affection.
Moi : wAllah c'est les meilleurs excuses du monde. Merci, j'men remet pas j'suis grave content.
Namiraa _ rit : Viens on se fait une partie pendant que la bouffe chauffe.
Moi _ sourit : Go.
___ Retour a la réalité.
Namiraa et moi étions en train de sourire, se rappelant ce moment. Un moment de complicité qu'on a aimer passer. Elle a baissé les yeux gênée par mon regard insistant.
Avocate : Et Après que s'est-il passé ?
Moi : Rien.
Juge : Vous avez jurée d'être explicite dans vos réponses, soyez précis.
On était en train de jouer, on enchaînait partie sur partie, on en avait même oublier de manger. Je m'imaginais, elle, moi, en couple en train de partager ce moment de complicité.
Je n'arrivais pas à me arrêter de m'imaginer le fait que dans un autre monde, nous serions en couple et très heureux.
