Chapitre 3

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[...] PDV d' Antonio.

La réunion par rapport au dernier chantier avait durer plus longtemps que prévu. Je regarda ma montre il n'était pas encore 17h. Un sourire apparu puis disparu aussi vite. La grande question que je me posais était : « Allait-elle réussir à finir avant 17h pile ? ». Bien qui lui restait encore une bonne demi-heure.

J'ouvris la porte de mon bureau, que je laissai toujours ouverte quand j'étais dans la bâtiment. Mes yeux se posèrent sur un chariot qui était apparu pendant que je n'étais pas là. Je regarda de nouveau ma montre qui indiquait 16h30. Je m'approche de cet objet inconnu à mon bureau. J'ouvris le premier dossier et trouva ce que j'avais demandé. Elle avait fini avant l'heure imposé et je lui avait donner quand-même un certain nombre de dossier à traiter. Je me décida d'appeler les archives.

-Oui ? Répondit la voix haut percher d'Amber.

-Amber. Dis-je fermement.

-Oh monsieur le directeur que puis-je pour vous ?

-Est-ce que Laureline est toujours là ?

-Non, elle a apporté un tas de dossier je ne sais où sans me demander l'autorisation. Puis elle est partie bien avant l'heure monsieur !

Je soupira en entendant Amber se plaindre. Elle ne pouvait pas savoir que c'était moi qui les avaient demander.

-Vers quelle heure a-t-elle monté les dossiers ?

-Vers 16h, je dirais.

-Bien, merci Amber.

-Je vous en prie, monsieur.

-Une dernière chose est-ce que vous et Anne pouvez venir me voir dans mon bureau avant de partir.

-Oui. Répondit-elle avec beaucoup moins d'assurance.

Je raccrocha. Un sourire se forma de nouveau sur mes lèvres. Je regarda de nouveaux les dossiers.

-A 16h. Répétais-je.

Je récupéra le premier avec un compte-rendu et commença à feuilleté tout ça. Je devais quand voir si le boulot avait été bien fait.

[...] PDV de Laureline.

En sortant de l'entreprise, je me décida à passer par la rue commerçante. On sentait que noël n'était plus loin. Les décorations étaient présente aussi bien dans les magasins que sur leur façades et dans les rues. Je souris tristement quand j'étais petite j'adorais cette période de l'année jusqu'à ce que je perde mes parents. Je soupira avant de prendre mon téléphone.

-Laureline est-ce que ça ? S'écria ma meilleure amie en décrochant.

-Bonsoir Eléonore. Je vais bien je voulais savoir si je pouvais passer te voir si je ne dérange pas bien sûr.

-Oui ! Vient j'attends ta visite depuis déjà 5 mois enfin peut-être plus maintenant. Tu étais toujours prise par ton boulot et tu n'es pas venu voir mon ventre. Dit-elle tristement.

-Je prends un taxi et j'arrive. Dis-je avant de raccrocher avec son accord bien sûr.

Et je fis ce que je dis. Je pris directement un taxi qui m'emmena jusque chez ma meilleure amie. Il s'arrêta devant le portail que je déverrouilla avant de marcher dans l'allée jusqu'à la maison. Je me dépêcha car il ne faisait pas chaud. Je fus à peine devant la porte quelle s'ouvrit et je trouve Mathilde toute sourire.

-Bonsoir Laureline.

-Bonsoir Mathilde, elle vous a dit que je venais.

-Oui, elle est toute heureuse d'enfin pouvoir vous avoir à la maison.

Les frères De Luca 1- AntonioOù les histoires vivent. Découvrez maintenant