Les frères De Luca 1- Antonio

Chapitre 13

Il était en train de dévorer mes lèvres de façon tellement bestiale que j'avais du mal à retenir mes gémissements. Pourtant je devais tenir pour lui faire comprendre que je n'avais pas aimer le fait de nous montrer en spectacle. Je rompus le baiser.

-Antonio De Luca arrête ça immédiatement.

-Arrêter quoi, bella ?

-De m'embrasser pour que je ne sois plus en rogne contre toi.

-Sauf que tu es encore plus sexy quand tu sors les griffes mi amor.

Je soupira mais le regarda en fonçant les sourcils.

-Tu ne gagneras pas.

-Tu crois ? Demanda-t-il avant de reprendre possession de mes lèvres.

Il me colla un peu plus à la porte et lui contre moi si bien que je sentis de nouveau son érection contre moi. Il se mit de façon à ce que nos deux sexes se touchent avant de donner un coup de bassin ce qui me fit lâcher un gémissement. Je m'agrippa à ses épaules avant de me défaire de ses lèvres et mettre ma tête au niveau de son cou.

-Pardonne moi Laureline. Je ne voulais pas me pavaner avec toi sur mon épaule devant tout le monde mais je suis en train de péter un câble sans toi.

Je grogna dans son cou avant de lui mordre la peau et de lui faire un suçon.

-Je sais pas.

Il grogna à son tour à se demander si on était pas des animaux qui communiquait par grognement. Puis il me décala de la porte et partie en direction des chambres. À peine arriver dans la pièce que je me retrouva sur son lit avec lui au-dessus de moi.

-Laureline.

-Antonio.

-Je t'aime. Me dit-il d'un coup sans prévenir.

Je le regarda surprise ne me voyant pas répondre il détourna les yeux mal à l'aise. Je pris son visage être mes mains avant de l'embrasser tendrement. Il finit par me regarder et je lui souris.

-Je t'aime aussi Antonio, c'est juste que ça va trop vite pour moi. J'étais en train d'essayer de devenir indépendante et là tu arrives, tu chamboules ma petite vie et j'avoue j'ai adoré passer tout ce temps avec toi. J'avais juste besoin de me recentrer un peu et de me mettre en accord avec moi-même, tu comprends ?

-Je comprend très bien. Dit-il avant d'embrasser mon front. Mais je n'aime pas te savoir loin de moi. J'ai besoin de toi avec moi, je ne supporte plus d'être seul depuis que tu as gardé Léo avec moi. Quand tu es partie c'est comme si il me manquait une partie de mon être.

Je passa doucement ma main sur sa joue en lui souriant.

-Je suis là maintenant.

-Et je compte bien en profité.

Il m'embrassa tendrement puis rapidement on perdit nos vêtements avant de seller nos promesses d'amour pour l'avenir.

Le lendemain j'étais casser de partout mais surtout des hanches. On l'avait fait plus de cinq fois car j'avais arrêté de compter après j'avoue. Je serai bien rester genre longtemps même très longtemps au lit pour me remettre de tout ça mais c'était sans compter l'intervention d'Eléonore. Dans mon demi sommeil j'entendis un vague bruit de sonnette puis une discussion, des bruits de pas qui se rapprochaient de plus en plus, jusqu'à ce que la porte s'ouvre dans un grand bruit.

-Laureline.

-Bonjour Eléonore. Dis-je avant de m'emmitoufler dans les couettes.

-Qu'est-ce que ça veut dire ?