chap 3

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Le reste de la journée s'annonça plutôt calme. Un début mouvementé et une fin tranquille. (T/P) Nous aidait à nous installe dans une chambre. Klaus répétant être avec Ben avec le sourire. Tellement que Diego a finis par dire reste avec lui. Donc au finale Diego et Klaus, Luther seul parce qu'il est trop gros, Allison avec Vanya car elle n'a apparemment pas confiance en moi, moi évidemment seul mais, par chance, a cote de la chambre de (T/P). Actuellement elle/lui/iel et moi faisions le tour de ses placards pour me trouver une tenue plus adéquate. Donc j'étais assis sur son lit et lui/elle/iel débout sur un tabouret. Ai-je confiance dans ce tabouret ? Absolument pas.

Et j'avais raison ! Je le/la remarque commence a chuté et me précipiter pour la/le rattrape en princesse. Et lui/elle/iel tout ce qu'il/elle/iel trouve à dire c'est :

"- ouf heureusement que tu étais à mes cotes. A 1 minute près plus de (T/P)"

Je soupir et l'allonge dans le lit en vérifiant que rien ne lui face mal. Iel/elle/il me dit en caressant ma main pour que j'arrête ma demi-panique

"- ça me rappelle nos missions. Tu te souviens ? Quand on était encore si proche et en même temps si loin l'un de l'autre. Je te mentirais si je te disais que je ne t'en ai jamais voulue mais je suis passe à autre chose maintenant. Si tu es parti c'est que tu avais tes raisons à toi 5"

Je viens doucement me niche dans ses bras

"- je m'en veux tu sais. Je me suis inquiète pour toi (T/P) longtemps. Mais je devais sauve le monde."

Elle/il/iel me rends mon étreinte avec douceur. Sa chaleur m'a temps manqué. Rien que son visage et ses main si délicate. Tout me manque.

Je dois bien avouer que lorsque j'étais occupé avec l'apocalypse je ne pense pas que sa présence me manquerais autant voyez-vous. Pour moi il/iel/elle resterait une simple connaissance ou un plan cul a la limite je ne sais pas. Mais je n'aurais jamais pensé que cela sera si dur de la revoir et de savoir que je vais le/La quitter et qu'elle n'est et ce ne sera jamais mienne...est-ce vraiment ça ce que l'on appelé l'amour ? Souffrir du manque de notre partenaire ? Je ne sais pas vraiment si je pourrais appeler ça de l'amour mais c'est vraiment dur de me dire que je vais devoirs a nouveaux l'abandonner encore une fois la laisse loin de moi. A nouveaux.

Le temps que je ne me perde dans mes pensées ses mains sont descendue dans mon dos pour la caresse et m'apaiser. Sa douce voix me murmure à l'oreille

"- je sais à quoi tu penses 5. Change-toi les idées et fait comme moi, profite juste de l'instant peut être que demain n'existera pas alors savoure chaque moment de ta vie"

Ses paroles sont plutôt rassurantes au fond. Rien que le fait d'être dans ses bras et pour moi une joie immense.
Alors je me niche, je ferme les yeux et profite de sa douce odeur. Elle/lui/iel est moi appartenons à deux mondes différents. Chez elle/lui/iel l'apocalypse est un cas plus ou moins permanent celons les endroits et son monde est bien différent, mais je suis toujours contre iel/elle/lui aujourd'hui. La nostalgie de ses câlins et de sa douceur laisse couler mes larmes le long de mes joues. Je n'avais jamais éprouvé cela avant. Le fait de se dire qu'après on perdras sûrement l'amour de sa vie. Que je ne la verrais plus jamais par suite de cela. Elle me dira une de ses phrases débiles du style "vie bien sans moi" ou des trucs du genre et on se quittera comme dans les filme trop romantique pour ne pas être écœurant. L'amour c'est comme une rose. Son parfum et son allure sont agréables mais lorsqu'on y touche enfin on se pique généralement les doigts.

Alors que mes joues se remplissent sans aucun bruit, (T/P) nous redresse et embrasse les larmes qui coule avec douceur. Aucun son ne sort de ma bouche, aucun sanglot, aucun ne crie aucun remort, rien. Juste mes larmes qui se laisse enfin partir. Cette accumulation de tout qui s'échappe. Je laissais mes sentiments couler avec ma peine. Les lèvres de (T/P) les essuyant légèrement. Nous restions la idiotement l'un contre l'autre. Juste elle, moi et le calme d'une pièce presque vide.

Enfin, jusqu'à l'arrive de Klaus qui enfonce notre porte. Et aux vues de son sourire il va forcément dire une connerie. En même temps (T/P) est assis(es) sur moi en train d'embrasse mes joues et moi je la tiens contre moi.

"- j'interrompu des préparatifs peut être ?

- casse-toi si tu n'as rien à dire Klaus.

- désagréable petit frère que tu es. JE venais vous annoncer que le repas à était préparé avec amour par notre chère sœur Allison. Ne tarde pas à manger elle a fait des lasagnes !"

Il rit débilement en applaudissent tout aussi débilement. Cette être me fascine et dégoute à la fois.

"-bien. Maintenant casse-toi Klaus."

Il rit et part en ouvrant plus la porte cette enfoire.

"- la porte Klaus espèce d'enfoiré !"

numéro 5 x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant