25/. Je te promet

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Je plonge ma tête sous, essayent de rafraîchir mes idées, je peux dire que je me suis fait à la danse ? Que c'est accidentelle ...

La panique commence à s'emparé de mon corps et je ferme les yeux très fortement, essayent de reste le plus longtemps sous l'eau possible. Rester sous l'eau c'est un peu comme une protection, un bouclier, rien de peux m'atteindre et je ne peux rien voir ni entendre, c'est une bulle, la bulle dans laquelle je veux m'enfermer.

Au moment où l'oxygène commence à me manquer, des bras vienne viennent entouré ma taille et me remonté à la surface.

NON

NON

NON

Je ne veux pas m'expliqué, je veux pas, je veux pas, je veux pas, je veux pas, je veux pas, Je veux pas, je veux pas, je veux pas, je veux pas, je veux pas...

Mes oreilles bourdonnes, je n'entend rien, j'essaye d'ouvrir mes yeux mais rien n'y fait, tout reste noir autour de moi. Je suis maintenant remonté à la surface depuis quelques secondes, mais rien n'y fait, je n'arrive plus à respiré.

Je commence à encore plus paniqué et des tremblement s'empare maintenant de mon corps. Je sens mon corps heurté l'eau plusieurs fois violament, mais je ne peux plus rien contrôlé, je contrôle plus mon corps.

Des bras sert mon corps, fort, très fort, ça me fait mal et ça touche mes bleues donc j'ai encore plus mal. Mais grâce à ses bras, mon corps commence doucement à se calmer.

Les bras me sert toujours, ils me protège.

Je suis épuisé, je n'arrive plus à maintenir mon corps seule, c'est comme si mon propre poids avais étais multiplié par 10.

Mais ses bras sont encore là, et me maintiennent à la surface. Ma tête tourne encore beaucoup, mais ma respiration c'est calmé.

Mon cou me fait mal, je le laisse tombé vers l'arrière sous le poids de ma tête, celle-ci heurte quelques choses de dur.

J'ouvre délicatement mes paupières, et observe se qu'il y a enfance de moi, d'abord tout est blanc, puis tout devient coloré et je reconnais le plafond de la piscine.

J'avais oublié que j'étais dans un piscine...

Je tourne ma tête légèrement vers la droite et tombe sur un visage, son visage.

Puis je fond en larme.

- Moi : Pardon ,je suis désolée, pardon, pardon, pardon, c'est de ma fautes, pardon, je suis désolée, pardon, pardon, pardon, je suis désolée.

- Johnny : Lou...

Puis j'explose en sanglots, les larmes qui coule sur mes joues se mélange à l'eau chlorée de la piscine. 

- Moi : Je suis désolée, pardon, pardon, je suis désolée, pardon, c'est de ma fautes, pardon, je suis désolée, pardon, pardon

Je répète c'est trois phrases sans m'arrête, Johnny tente de me coupé la paroles plusieurs fois mais je continue, je l'entend même pas enfaite. Je suis enfermé dans un bulle, et je peux pas m'arrêter de m'excusé et de dire que oui ,Noa à raison, c'est de ma fautes ce qu'il me fait. 

Je suis juste une minable fille qui ne m'hérite l'attention de personne, c'est juste que Noa vient de s'en apercevoir, puis John v'as s'en apercevoir et tout le monde v'as s'en apercevoir et ils vont tous faire comme Noa, je ne veux pas qu'ils fasse comme Noa. 

Je ne veux pas que Johnny deviennent comme Noa.

Des mains entoures mon visages pour la deuxième fois de la soirée. Je sais que c'est lui, mais je ne peux pas m'empêcher de me débattre, il v'a devenir que Noa. Je me débat, essayant d'écarter ses mains de ma peau, mais je n'ai plus aucune de force, alors à la place je m'accroche à ses poignets et continue de pleuré.

La semaine de ma vie ✔Où les histoires vivent. Découvrez maintenant