Ils épient, le sourire au lèvre, la danse des conifères.
Les ombres et les torpeurs des forêts oubliées,
Ils s'y engouffrent avec les liens qu'on ne peut défaire.
Esprits animaux, rappel à la terre, ils n'en ont que faire des hommes ennuyés.
Ils ont les racines comme appui, les cimes comme horizons,
La Nature est leur seul foyer,
le vent leur unique maison.