Chapitre 5

14 1 3
                                    

Je me réveille la première et décide d'aller écrire un bilan de ces derniers mois qui ce sont écoulés avant cette épreuve ultime.
Une fois que je me suis assuré que je ne dérangeais personne je me mets à écrire

" Cher journal,

Dans les dernier mois qui sont partis en fumés, j'ai appris les derniers mouvement de l'eau, ainsi que Sabito et Giyû. Ça a été rude mais nous avons réussi, le seul soucis c'est que je ne me sens pas à l'aise dans les mouvements, une sorte de gènes constante, comme si ça ne collait pas avec moi ... je ne comprend pas pourquoi, après je parviens quand même à les réaliser à la perfection, mais il y a cette handicap tout de même.
J'ai eu 16 ans le mois dernier, mais Sabito et Giyû ont eut 17 ans cette année, je reste toujours la plus jeune même si ce n'est que d'un an. Il n'empêche qu'ils veillent toujours sur moi et moi sur eux, enfin nous veillons sur nous mutuellement. Je n'aurais pas pensé avoir la chance de trouver des frères après ma pertes de mes frère de sang par le passé, mais ils ont remplis leur rôle encore mieux de parfaitement. Nous sommes très proches et je sens qu'un lien incassable nous unis. En ce qui concerne ma partie humaine je pense avoir fait le tour. Peut-être je devrai dire que la puberté m'a faite évolué aussi mentalement que physiquement, je suis plus femme qu'enfant, 1 an d'entraînement, des hormones différentes et beaucoup de travail sur moi-même, je pense que j'ai beaucoup pris en maturité, je le suis déjà peut-être trop pour mon jeune âge et ne serai que de penser ça en est la preuve.

Ma partie Démon a grandement évolué aussi si je repense à comment j'étais il y a un peu plus d'un an.
Avant je ne maîtrisais rien, aujourd'hui, je pense être en pleine capacité de cette part de moi.
Je peux maintenant communiquer même sous cette forme, je suis beaucoup plus forte, beaucoup plus tout en faite ! C'est horrible de reconnaître ça comme un atout, mais quand je suis transformée en Démon, je deviens monstrueuse, je dépasse largement les capacités d'un humain... Toutes supériorité a son point faibles, j'ai juste envie de dire que mes points faible sont comparable à mes cousins les démons, sauf en ce qui concerne le soleil, et ... euh et bien c'est tout.  En faite, n'importe qui peut m'abattre d'un coup de Katana de pourfendeur ou sabre du soleil, je pourrais me suicider moi-même avec le sabre du soleil que je recevrai après la sélection final, enfin je dis ça comme si j'étais sûr de survivre, non pas que j'en doute 2 secondes mais bon, on ne sait jamais ce qui pourrait arriver.  Je sais que je pourrais mourir d'un sabre du soleil, car lors des duels entre moi et Sabito ou moi et Giyû, j'ai souvent été blessée et j'ai ressenti plus de douleur, comme j'étais sous ma forme de démon que sous ma forme humaine. Donc j'en ai conclus que j'étais aussi proche d'un démon que d'un humain selon le côté que je réveille en moi.
J'ai sûrement oublié encore plein de détails en ce qui concerne les derniers mois qui se sont écoulés, mais ça me reviendra plus tard, ce n'est pas grave.
Je pense que le plus fort de nous trois est Sabito, je ne sais pas pourquoi, mais il a un truc en plus, après c'est Giyû, qui le suit de près, puis il y a moi, en tant qu'humaine, j'ai des capacités et je me trouve sur la ligne, aussi près de Giyû, mais je reste là plus faible de nous trois, je ne sais pas si c'est à cause du fais qu'une femme est toujours moins de force qu'un homme, car je suis certaine que si je ne me reposais pas sur mon côté démon, j'aurai pu être aussi forte qu'eux, mais peut-être que pour le coup, je suis plus faible parce que j'ai justement penser de cette façon. Je suis persuadé qu'une femme peut-être encore plus forte qu'un homme, ce sont des stéréotypes bien trop présents à cette époque au pays, c'est tout. Je le remarque aussi dans la manière d'agir de Sabito et Giyû, qui pense que parfois je vais me briser pour quelque chose de minime alors que non, mais j'ai l'avantage de gagner leurs amours 10 fois plus à chaque fois alors je ne m'en plains pas. Je ne sais pas ce que je deviendrai si je les perdais ... c'est sûrement égoïste ce que je vais écrire, mais je préfère qu'ils vivent sans moi, plutôt que je sois obligé de vivre sans eux."

Pilier oniOù les histoires vivent. Découvrez maintenant