Partie 8

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Moi: (je me tais)

Je ne lui ai pas répondu, je ne lui au même pas regarder le visage. Je serrais ma main. Les mots qu'elle venait de me dire je ne voulais pas les entendre ni a ce moment ni a jamais. Il n'y a que Esma qui pouvait m'apprécier et pas une autre. Je n'ai jamais voulu l'amour d'une autre qu'Esma. Car je me suis cacher juste pour elle. Mais... Je ne peux rien a part continuer ce film(vie).
Tous le monde dansaient sur la piste. Fatima courrait vers moi.

Fatima: Aller aller levez-vous !!

Moi: Naan wAllah j'ai pas envie. Ne me force pas s'il te plaît !

Fatima: c'est pas pour que si t'a envie ou pas. C'est pour ton père idiot! Lever vous dansez, regarde la honte après le quartier va dire que les mariées ne se sont pas lever pour danser

Moi: C'est bon.

Khadija et moi nous sommes lever vers la piste de danse. Je n'osais pas la tenir par bas du dos. Je ne voulais pas. Elle, elle mis tout de suite ses mains sur mon épaule. J'ai senti que c'était fini. Que je n'avais plus du tout de chance envers Esma. C'était carrément fini. Je tenu le bas de son dos. On danse, danse.. Après 3-4 minutes je lâcha. Et parti vers mon siège. Les gens que je connaissais nous felicitais. Tout le monde commençais a rentrer chez eux petit a petit. Cela voulais dire que cette journée étais fini.
Nos famille étaient sorti dehors et je sortis avec Khadija ensuite. Ses parents mon appeler

Son père: Prend cette clé

Moi: C'est quoi ?

Son père: C'est la maison de ma fille

Moi: (je pris le clé) merci mais..

Son père: Ce soir vous allez rester tout deux dans cette maison. Elle vous appartient désormais.

J'étais surpris. Pas d'avoir une maison bien sûre. Mais de rester elle et moi dans la maison la nuit. Partager le même salon, cuisine, chambre.. LIT!
Je ne pouvais accepter tel chose. J'étais choquer ! Je regardais tous le monde autour de moi, ils étaient tous content, souriait. Personne ne voyait ma peine ma tristesse fatale. J'ai enlacer les personnes de ma famille. Quand je suis aller vers mon père.

Mon père: Je suis fière de toi mon fils

Moi: (rien dit comme toujours, j'ai juste fais un sourire)

Chronique de Sami: Perdu à jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant