Dayana de la nuit, des soirées, aimant faire la fête avec ses amies. Elle aime être dans le bruit. Mais un jour, manquant d'argent pour réaliser un projet. Elle décide de s'essayer au plus vieux métier du monde.
Était-ce vraiment la solution ? Ou l...
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Je n'avais encore jamais vendue mon corps de façon aussi explicite jusqu'à maintenant. Je n'ai jamais eu besoin d'argent au point d'être réduite à être un objet sexuelle. Je venais pas d'une famille pauvre, au contraire, mes parents avaient une situation financière aisée. Je n'avais jamais manquée de rien. D'ailleurs, j'ai toujours eu tout ce que je voulais. J'étais l'un de ces enfants capricieux et pourri gâtée que les gens ont tendance à mépriser. Mais ça, c'était avant.
Si on m'avait dis qu'un jour je vendrais mon corps pour une poignée de billets. J'aurais rigoler à gorge déployée avant de demander qu'on me ressert un verre du vin le plus chère de l'un des restaurants les plus luxueux de la ville.
Pourtant, j'étais là, devant cet inconnu à la carrure imposante. Sans avoir la moindre idée de qui il était, ou quelle était ces intentions. C'était la première fois que je faisais de l'escorting. J'ai longtemps refusée de faire cette pratique que je considérait hideuse. De plus, la plupart des clients de ce secteur étaient des vieux pervers, gros, poilus, âgés entre 45 ou 50 ans, parfois même 60. Des cadre père de famille, qui n'ont aucune honte de coucher avec des femmes qui pourraient être leurs filles.
Mais cette fois, c'était un homme assez jeune. Il devait à peine avoir la trentaine. Il était grand, avec une musculature parfaitement structurée. On pouvait facilement le voir sous sa chemise...
Je ne suis pas particulièrement attiré par les hommes stock, mais il était beau. Il a la peau foncé, une mâchoire carrée, un nez droit, des yeux noirs perçants, un dégradée bien fait avec des waves. C'était un homme bien soigné. Vêtu d'une chemise noir, suivit d'un pantalon en tailleur bleu foncé et des mocassins extrêmement bien ciré, je le trouvais très classe. Ce n'était pas mon genre d'homme, mais il était acceptable, en tout cas assez acceptable pour que je couche avec. Puis il a payé une somme assez convaincante seulement pour m'avoir dans son lit ce soir.
Assise sur le lit, je le regardais me servir un verre de champagne avec élégance. Une fois mon verre a moitié plein, il avance dans ma direction avant me de tendre le verre.
-Lui: Je m'appelle Adam, annonce t'il d'une voix roque en me regardant dans les yeux.
Ce n'est qu'à cet instant que j'ai entendu le son de sa voix. Il n'avait pas dit un seul mot depuis mon arrivée dans cette chambre d'hôtel, et moi non plus. J'étais bien trop intimidée par sa présence. J'étais nerveuse, mais je ne voulais pas le montrer. Je voulais lui faire croire que j'avais l'habitude.
-Moi: Dayana.
Je bois une gorgée pour essayer d'éviter son regard. Il avait un regard dure, glacial, comme le regard d'un père qui regarde son enfant lorsqu'il a fait une bêtise.
