Chapitre QUATORZE

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📍Madrid, Espagne Adam11h03

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📍Madrid, Espagne
Adam
11h03


Je ne peux pas aller chez un féticheur parce que c'est contre mes principes. Je ne pas aller prier à l'église parce que je ne crois pas en Dieu. J'ai plein de règles stupide que je dois respecter pour rester en vie. Quand on me demande pourquoi je préfère mentir. Un peu innocent, un peu coupable. La vie à fait de moi une personne détestable qui ne pense qu'à l'argent.

Je n'ai jamais été quelqu'un qui cherche un sens à sa vie. C'était pas dans ma nature. Mon but à toujours été d'avoir de l'argent. Ça vas faire presque que dix ans que je ne pense qu'à l'argent. Il y'avait que ça qui m'intéressait. L'argent pouvait tout acheter dans ce monde. Si vous n'avez toujours pas compris quelque chose d'aussi clair, c'est que vous êtes des idéalistes. Tout peux s'acheter, les choses, les cœurs et même la vie des gens. Je le sais. Si j'avais eu de l'argent il y'a quelque années je n'aurais pas perdu mon frère...

Sa maladie n'avait rien d'incurable. Le problème c'est que l'opération coûter une fortune. J'étais naïf. J'ai crue qu'avec mon travail de comptable et l'aide de mon père je pouvais le sauver en économisant assez. Sauf qu'à cette époque l'entreprise de mon père battait de l'aile.
Et il est mort avant même que je puisse atteindre la moitié du prix de son opération.

C'est à ce moment que j'ai tout compris. C'est l'argent qui régi ce monde. La société ne respecte que les gens qui ont l'argent. Mais surtout l'argent te permet de sortir du système.

Donc j'ai décidé d'en avoir. Par tous les moyens. L'argent, l'argent, l'argent. Tant que j'en gagne.
Mais le temps passait et ça devenait de plus en plus déprimant. Voir même lassant. Jusqu'à où ? Jusqu'à quand ? J'allais courir après l'argent.

Combien d'argent avais-je reçu ?
Combien de problèmes j'ai ?
Combien de personnes sont tombées pour ça ?
Combien j'ai laissé pourrir ?
Combien prient pour ma chute ?
Combien d'avocats avais- je besoin ?

Tous les jours je me posais cette série de questions sans jamais trouver une réponse à l'une d'entre elles. Je passais ma vie à vivre sans bute précis, à vagabonder de ville en ville à la recherche d'argent.

Mais tout ça. C'était fini. Aujourd'hui je sais enfin se que je veux: Dayana. Oui Dayana. C'est elle que je voulais maintenant. Je voulais qu'elle m'appartienne entièrement. Quelque qu'en soit le prix. C'est n'était pas de l'amour que je ressentais pour elle mais c'était bien plus que du sexe. À vrai dire je ne saurai comment l'expliquer. Je me sens bien avec elle. Ça présence me soulage. Elle me fait oublier toute ces questions que je me posais sans cesse. A ces côtés je me sentais apaisé. C'était mon exutoire....

Aucune femme ne m'avait autant apaisé qu'elle. Je me suis jamais intéressé au femme. Sauf pour faire du sexe. Que ça soit ici ou à Brazzaville, je préférai une pute qui savait très bien pourquoi elle était là. Qu'une femme plein de vie qui veut construire quelque chose de réel. Je n'étais pas un excellent menteur et j'ai toujours évité de faire du mal aux autres. Donc j'ai toujours fuis ce genre de femme un peu trop parfaite même si j'en attiré beaucoup.

Mon exutoire Où les histoires vivent. Découvrez maintenant