CHAPITRE 11

47 7 0
                                    


(Mes Amours, si vous avez moins de 18 ans, allez au épisode 12 directement)

***********************************
Est ce qu'il va finir par s'impatienter et cherchera du réconfort ailleurs ? Dois-je malgré tout maintenir ma position ? Avant je m'estimais trop jeune mais maintenant je suis majeure. Mais était -ce une raison pour me précipiter dans ce monde jusque-là inconnu. ?
.
J'avais peur de me faire piéger par l'amour. Mais en même temps, j'avais peur de perdre Mario. Cette seule idée me terrifiait. J'évacuai toutes ces pensées de mon esprit et je m'entrepris de prendre mon bain.
.
Après le bain, je me reposai un moment et à mon réveil, Mario m'emmena prendre un copieux repas au restaurant de l'hôtel.
Le ventre bien plein, nous fîmes une légère marche aux alentours et j'étais sidérée par la beauté de mon nouvel environnement.
.
Le crépuscule se dessinait déjà au moment où nous regagnâmes l'hôtel. Mario me proposa de faire un tour au restaurant mais je n'avais plus faim.
.
Nous retournons dans la chambre à l'hôtel. Le voyage très long m'avait épuisé et je m'affalai sur le lit et dormit comme un nouveau -né jusqu'au petit matin.
.
J'ouvris les yeux sur un Mario profondément endormi. J'étais réconfortée de savoir qu'il ne m'avait point touché et ceci renforça ma confiance en lui.
. C'était un vrai gentleman.
Je sautai du lit et allai prendre un bain. Quand je finis, Mario était aussi déjà réveillé. Il prit son bain et nous nous rendons au restaurant de l'hôtel pour le petit déjeuner. Cela me faisait tout drôle de me retrouver ainsi seule avec Mario, partageant un même espace d'habitation.
.
Après le petit déjeuner du dimanche matin, nous retournons dans notre chambre. Je n'ai pas pu me rendre à l'église parce que je venais d'arriver. Avec le temps, j'organiserai ma nouvelle vie. Je proposai à Mario d'aller faire un tour dans la ville mais il préféra que nous passions la journée à l'hôtel, ainsi il allait m'entretenir sur ma nouvelle vie dans ce nouveau pays.
.
Dès que nous franchissons le pas de la porte d'entrée de notre chambre d’hôtel, Mario enroulant ses mains autour de mon cou prit mes lèvres dans un baiser langoureux. Je répondis avec plaisir à ce jeu passionnant devenu pratiquement le socle de nos contacts physiques depuis le début de notre histoire, il y a bientôt deux ans.
.
Je ressentis un désir brûlant chez Mario, je pouvais sentir son souffle qui se déposait comme une douce caresse sur ma peau. Ça devenait chaud !
.
Je n'avais pas l'envie de me dégager ni de le stopper car son odeur musqué et viril m'attirait terriblement. Un magnétisme violent envahit tout mon corps. Je me sentis aimée, serrée étroitement contre Mario.
Sans un mot, il m'entraîna sur le lit.
.
Mon cœur se mit à battre la chamade quand il se mit à me déshabiller. Je tressaillis de désir. Son regard était pénétrant et semblait requérir mon autorisation pour aller plus loin. Je fermai mes yeux pour ne plus rien voir. Il posa à nouveau ses lèvres sur les miennes m'arrachant un gémissement étouffé par ce baiser violent et pressant. Un flot de sentiments monta en moi quand ses mains expertes vinrent caresser mes seins.
.
Je rouvris les yeux, il planta son regard dans le mien et mon cœur se remplit de nouveau de ces émotions intenses. Mario semblait déterminé à aller très loin. Il s'écarta lentement et me passa sa langue contre ses lèvres.
- Je veux te faire l'amour, Irma. Laisse-toi faire.
*************************************
- Non, parvins-je à articuler d’une voix faible, alors que tout mon corps vibrait de désir.
.
Feignant de ne pas entendre mon refus, Mario m'embrassa tendrement. Ses lèvres sont tout simplement irrésistibles. Je me laissai embarquer dans ce tourbillon de plaisirs inouïs. Mon esprit disait non mais mon corps acquiesçait. Tout mon corps était enflammé et je n'eus plus le courage de l'arrêter.
J'étais toujours dans cet état troublant quand j'entendis Mario murmurer au creux de mon oreille gauche qu'il me désirait férocement. Sa voix fut suppliante genre ne m'arrête plus cette fois, j'en meure d'envie depuis bientôt deux ans.
.
Des frissons se mirent à parcourir mon corps et un faible sourire en guise d'acceptation se dessina sur le coin de mes lèvres.
Que c'était bon ! Je fondais de plaisir.
.
Doucement une de ses mains est descendue vers mon jardin secret dans laquelle il enfouit un doigt. Je gémis les yeux fermés de la sensation que me procure cette nouvelle caresse. Mario continua son exploration et sa langue douce dans mon jardin secret me procurait un plaisir monstre.
Je remarquai le bonhomme de Mario qui grossissait de façon spectaculaire et j'eus peur d'avoir mal. C'est la première fois que j'en voyais en vrai! Et c’était gros et long !
Mario me chuchota à l'oreille :
- N'aie pas peur ma petite Irma. Je vais aller très doucement.
.
Mario reprit ses caresses qui me rendaient folles de plaisir. Sa langue fouille ma bouche et ses mains pelotent mes seins adroitement. C'était magnifique. Je sentais une chaleur envahir mon bas-ventre et mon jardin secret s'humidifier.
.
Je commençais à gémir sous les assauts de sa langue qui fouillait chaque recoin de mon jardin. Jusque-là, c’était féerique et le désir montait. Tantôt, il arrêtait sa fouille pour titiller mes seins et j’adorais la sensation que cela générait en moi.
.
Sous ce tourbillon de plaisirs, je n’étais plus que soupirs. Mes cris de plaisirs se font de plus en plus forts. Mon corps est en transe et tremble d’excitation. C’est comme si mon corps l’appelait à aller plus loin. Mario prenait son temps et n’était pas pressé. Il savourait mon corps et cela se voyait qu’il attendait ce moment depuis longtemps.
.
Au bout d'un moment de sensations voluptueuses, Mario se coucha sur moi, sa bouche prit la mienne, sa langue s'enroulait autour de la mienne, me coupant presque le souffle et étouffant mes gémissements.
.
Ses mains parcouraient mon corps, ses jambes écartaient les miennes, puis je sentis un objet dur à l'entrée de mon jardin secret qui essayait de forcer l'entrée. Il insista légèrement et je poussai un petit cri de surprise et de douleur.
.
D'un coup de rein, il s'insinua au plus profond de moi, me déflorant.
- C'est douloureux, Mario.
- C'est normal, pour la première fois mais après tu vas voir, tu vas aimer.
.
En effet au fur et à mesure qu'il allait et venait, les parois de mon jardin se distendaient progressivement et la douleur s'estompait. Mon jardin secret s'habituait à cette intrusion et je commençai même à éprouver du plaisir.
.
A un certain moment, Mario poussa un grand cri et déchargea un long jet de liquide blanc sur mon ventre. Je savais ce que c’était pour l’avoir appris en Biologie, mais c’est la première fois que je voyais pour de vrai ce liquide que l’on appelle sperme.
- Tu es une femme maintenant, me dit-il en me caressant le menton. J’ai évité de me décharger en toi, ne sachant pas si tu es dans une période fertile.

MA FILLEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant