"𝐿𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑛 𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑟
𝑐𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢. 𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡
𝑚𝑎𝑙𝑐ℎ𝑎𝑛𝑐𝑒𝑢𝑥, 𝑗𝑒 𝑛'𝑎𝑖 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟
𝑚𝑒 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑠𝑖 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒. 𝐼𝑙 𝑛'𝑦 𝑎
𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒𝑟, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑗'𝑎𝑖
𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑙𝑎𝑏𝑦𝑟𝑖𝑛𝑡ℎ𝑒."
𝐻𝑒𝑙𝑙𝑒𝑣𝑎𝑡𝑜𝑟 - 𝑆𝑡𝑟𝑎𝑦 𝐾𝑖𝑑𝑠
𝑃𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑣𝑢𝑒 𝑒𝑥𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒 :
Assise sur le sol, Seraphine essayait de se retenir de pleurer. Elle se sentait très mal parce que elle pensait qu'elle aurait pu sauver cette lycéenne, elle se sentait mal de ne pas avoir pu la sauver elle était toute tremblotante. Les autres étaient paniqués, et essayaient de trouver une solution, elle essayait de se calmer mais c'était impossible. Elle respirait fortement, puis elle finit par se mettre en boule pour s'isoler. Elle avait besoin de s'isoler, de respirer, de pouvoir réfléchir mais comment pouvait-elle le faire avec tout ce boucan ? Karube venait de mettre un coup de poing à Arisu, qui venait d'avoir un éclair d'illumination. Il commençait a expliquer son raisonnement, puis Seraphine ouvrait ses yeux très grands, il avait raison, cette voiture, cette bmw elle n'était pas là par hasard, c'était un indice. Elle se rappelle d'autres choses mais elle préférait ne pas couper Arisu, puis elle réussit à se lever pour suivre les autres. Une fois qu'ils arrivent dans la dernière pièce elle explique comme quoi sur le plan il y avait une sortie de secours et qu'il y avait une pièce qui n'était pas carré. Ce qui fait qu'ils réussissent à sortir en restant en vie, malgré le fait que Chota ait été brûlé à la jambe.𝑃𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑣𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑒𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑛𝑒 𝐴𝑟𝑎𝑟𝑎𝑔𝑖 :
On arrive enfin au niveau des escaliers de service, je ne sens plus mes jambes mais je décide de continuer à courir avec les autres pour être hors de danger. Une fois arrivée en bas, on se retrouve tous les cinq dans une petite ruelle miteuse, avec des déchets partout enfin le summum de la propreté quoi. Les téléphones se mettent à nouveau à faire du bruit, « le jeu est terminé. Félicitations ! ». Clairement je n'avais aucune envie de crier de joie, je voulais juste souffler un bon coup et me reposer car j'étais clairement à bout de souffle. Et on était tous dans cet état là, essoufflés, sales, transpirant qu'elle horreur vraiment. La reine du pessimisme prit la parole pour nous dire comme quoi c'était grâce à nous qu'elle était encore en vie qu'elle nous remercie, on ne va pas se mentir moi je m'en fous un peu mais je ne comprends toujours pas ce que je fous là, ni comment ça a pu arriver.
VOUS LISEZ
𝑆𝑖𝑛𝑔𝑢𝑙𝑎𝑟𝑖𝑡𝑦 | 𝐴𝐿𝐼𝐶𝐸 𝐼𝑁 𝐵𝑂𝑅𝐷𝐸𝑅𝐿𝐴𝑁𝐷 (EN COURS)
Fanfiction𝐼𝑙 𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢, 𝑐𝑒𝑡 𝑒́𝑐ℎ𝑜 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑖𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒 𝑙𝑎𝑐 𝑔𝑒𝑙𝑒́. 𝐽𝑒 𝑚'𝑦 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑗𝑒𝑡𝑒́, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑜𝑖 𝑗'𝑎𝑖 𝑒𝑡𝑜𝑢𝑓𝑓𝑒́ 𝑚𝑎 𝑣𝑜𝑖𝑥. « - Si on m'avait dit que j'aurais ma ven...