Interception

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Je me suis toujours demander comment Râ pouvait supporter de ce lever tous les matins a 5 heure. Enfin ça expliquerait pourquoi ils va toujours se coucher avant tout le monde. Mais vu que Bastet et Isis ont investies les lieux, elles peuvent s'en occuper a sa place.

Sans même que j'eu a la réveiller, Râ était déjà entrain de se préparer. Sa fine porte s'était ouverte alors que je fis que l'effleurer. J'entras sans me faire prier, pensant qu'il n'était pas là. J'étais plutôt gêner de le retrouver en train de se changer, se démenant alors qu'il tentait de changer ses pansement qui recouvrait la cicatrice qui lui bardait le torse.

Nous nous regardâmes, gêner.

-euh, oui ?

Je me suis rendus compte qu'à aucun moment je ne m'était retournée.

-Peux-tu me dire ou se trouve la sorcière dont tu m'a parler ?

-T'inquiète je t'emmène, fit-il avec un clin d'œil

Comment doit-je réagir, sachant que la dernière fois, je fus celui qui barda de cette cicatrice son torse sublime ?

-Tu es sur de ton coup ?

-Je promet de ne pas la tête!

Coup, le cou, la tête...

-Dis donc tu n'es pas en forme pour les blague !

-Méchant... fit-il, un air enfantin sur le visage

Il me tendis son bras.

-Evite de bouger cette fois !

Je souris faiblement. Et ca recommence. Des flammes d'or qui tournois, l'espace qui se déploie... vous connaissez la chanson.

J'aperçois une maison.

Une très grande maison de pierre. Oui, après tout nous on a des pyramide, alors que les sorcière ait des bunker, ce n'est pas surréaliste.

Nous remarquons la présence de quelqu'un dans la maison. Nous pouvions voir une femme qui utilisait métier a tisser

Je fis signe a Râ que j'allais l'attraper furtivement.

Je passa par une fenêtre qui était a l'opposé de son champ de vision. Il m'en fallu peu pour l'attendre.

En quelque coup, j'immobilisa la sorcière, et mis une lame sous son cou. Râ était devant elle.

- Inutile de dire que tu gagnes beaucoup a coopérer avec nous.

Puis je me rendis compte de quelque chose de vraiment étrange. Elle avait du fil dans ses main, comme brodé a l'aide d'une aiguille. C'était vraiment dérangeant. Elle avait une étincelle de folie dans ses yeux, qui était vert pale, mais pas dans le bon sens.

Avant même que je puisse aligner deux syllabe, elle envoya dans le décors. Râ percuta avec violence le mur.

Peu de chose peuvent m'énerver, mais c'était de trop, ça me fous tellement en pétard, que je pourrais facilement exploser la nuque a un passant. J'admet que c'est relativement immature.

- Tu veux la jouer comme ça la folle ? Bien, de toute façon je n'ai besoin que de ta tête !

- Non att...

Craque.

Je viens de déconnecter l'intégralité de ses os. Effondrement totale.

- Oh c'est dégeu...

Il a raison, quelqu'un qui a tout les membres dans des angles impossible , ce n'est pas jobard.

- Tu était vraiment obliger d'arrivé à tel extrémité ? il me regardait avec un air déçu, mélanger a une pointe d'horreur

J'ai complètement perdu mon sang froid devant Râ.

Je préféras me reconcentré sur la carcasse désarticulée qui reposait par terre. Penser a autre chose sera plus simple.

Je remis mes mains sur son dos, et un coup sec...J'ai dû suffisamment la réparer pour qu'elle parle. Mais j'avais beau tout essayer, elle restait muette.

Plan B.

J'enfonça mes doigt dans son crâne. A chaque seconde, mes ongles taillait plus profondément dans son cerveau. Râ réprima un haut-le-cœur.

Je trouva l'info que je recherchait :

Bien trouver frangin. Mais tu ne vas pas aimé. Mais le serpent rentre dans le nid, tu devras me tuer si tu veux que ça prenne une fin.

Une douleurs aigus me vrilla le crâne. Des milliers d'aiguilles en feu semblait s'enfoncer dans ma chair. Puis ce fus les yeux, j'avais l'impression qu'on me versait de l'acide dessus.

J'avais l'impression de mourir et de tomber de haut en même temps, de me noyer et de me bruler.

Puis plus rien, le néant, un vide sans fond, ni blanc ni noir, ni haut ni bas. Un sentiment écrasant de solitude.

Brutalement Râ me retira les doigt du crane de la sorcière. Il était en sueur, ca devait faire un moment qu'il devait essayer.

- Mais c'est quoi ce bordel ? d'abord tu fuis mon regard depuis ce matin comme si j'était une source d'ennui, puis tu démembre une sorcière, et maintenant tu prend le risque de fouiller dans son crane sans vérifier si elle n'était pas manipuler

Il avait presque crié, il était exaspérer.

Moi j'étais dévasté, je ne savais point réagir

- je protège mes collègue... fit-je toussotant.

-arrête de jouer au gros dur ! Tu aurait pu perdre l'esprit ! Si je ne m'étais pas interposer, tu serais un légume a l'heure qu'il est !

Silencieusement, j'appela a distance mes spectres pour qu'il communique notre positions a nos soldats, qu'il puisse venir chercher le cadavres.

La mort dans l'âme, nous attendîmes les soldats.

Le cœur à l'ouvrageOù les histoires vivent. Découvrez maintenant