Témoignage

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Je laissa mon sceptre près de la porte.

J'entras dans le bain. L'eau état tiré d'une source chaude, et les divers produit rendait l'eau laiteuse en apparence. Pour une fois, la chaleur n'était pas incommodante. Sobek s'était arranger, dans l'espoir de m'y voir un jour.

Alors je que naviguais au travers des diffèrent relief intérieur de la salle de marbre, je cherchas Sobek du coin de l'œil.

Je remarqua sa présence. Il était en la compagnie de plusieurs suivant et suivante.

Je durcissait mes trait pour faire comprendre que moi et mon collègue devions être seul.

Tous quittèrent la pièce à la hâte.

Sobek me regardait avec de grand yeux rond, il ne s'attendait pas à me voir ici, encore moins que de me voir à une fête.

-Je peux savoir ce que tu viens faire là ? on dirait une poule au milieux d'une bataille.

-Je suis ici uniquement pour récupérer les info d'hier, si je suis là c'est parce que Isis furetait dans le couloir, et que je ne veux surtout pas avoi à lui parler.

-Effrayé par une femme ?

-Sa sœur est-ce qui me dérange le plus. Je sais qu'elle balancera tout ce qu'elle au chat géant.

- Je n'ai jamais compris ce qu'elle cherchait chez toi... Bon. Je n'ai pas vu grand-chose hier, mais des rumeurs se répande qu'un monstre aurait pénétré l'enceinte de la ville. Mais bon, la semaine dernière c'était un esprit et celle d'avant un serpent géant donc on ne devrait pas accorder trop d'importance à ce genre de rumeur.

D'accord.

Maintenant : allez voir Horus.

***

Horus, lui , était à la caserne.

Il fallait du temps pour y aller, et mon cerveau cogitait à toute vitesse sur le chemin.

Et toujours aucune idée du mensonge que j'allais servir à Râ.

Je me dépêcha de rentrer. Nous étions déjà vers 4h du soir.

L'intérieur était simple. De marbre, de toute évidence.

Les soldat était toujours par groupe de trois, s'entrainant a diverse tactique, technique... On leur apprend comment tuer comme si on leur apprenait à lire.

Je n'ai pas mon mot à dire. Je me dirigea dans la salle d'entrainement personnel d'Horus. Il était en train de se battre avec son protégé.

Erkan.

Jeune, discipliné, volontaire, respectueux, honnête, calme, rationnelle et ne me dévisage pas. Quelqu'un de vraimant parfait en termes de standard divin. Enfin, on n'a pas vraimant des critère précis. Mais il est de ce genre d'individu, qui n'hésite pas à dire la vérité tout en restant respectueux, capable de vous remettre en question, de pointer vos faiblesse, sans les critiquer, et en aidant à les faire disparaitre.

Un être, parmi tous, se démarquant par son intégrisme délibéré, a un système qui correspond à ses valeur moral sur tous les plans. Une vue rare.

Bref, on l'aime bien.

Et lui ne me déteste pas. +1 point.

Je tapota rapidement le mur de marbre. L'oiseau s'arrêta immédiatement et me regarda du même airs droit et impassible que d'habitude. Il semblait avoir les yeux un peu sec.

Il fit un signe rapide à Erkan. Il lui ordonna de coordonnée les groupes.

Un air presque fâché se dessinait sur son visage alors que nous sortions pour discuter au calme.

-Tu sais que tu les terrifies ? A chaque fois qu'il te vois il crois que leur heur est venue. Plus que tout autre, il ont raison de te craindre.

-Je vais me passer de tes commentaires, si tes hommes me déteste c'est leur problèmes, pas le mien. Dépêche-toi de me dire ce que tes hommes ont trouvée hier.

- Rien au-delà des ragot habituel. Mais beaucoup affirme avoir vue des ombres danser durant la nuit. Vraiment trop bizarre.

-Rien de plus ? Vraiment ?

-Rien.

Frustrant. Mes pistes s'assèche ici, vu que les spectre d'Osiris me font déjà leur rapport.

Les point de départ des rumeurs sont éloigné, sans rapport. Il y a une chose que je peux en déduire.

Tu cherche à attirer mon attention ?

Sonne l'heure, vient la nuit. Et aucune idée de quoi raconter à Râ.

***

Il m'attendait déjà sur la haute terrasse. Un silence de mort pesait. nous décidâmes de nous installer dans sa chambre.

Il s'assit sur son lit. Je resta debout.

-Bon, on arrête les secrets. Dis-moi qui c'est.

Foutu pour foutu.

Il veut la vérité ? Elle va faire mal.

Mais plus a moi qu'à lui.

Le cœur à l'ouvrageOù les histoires vivent. Découvrez maintenant