C'est beaucoup plus simple de s'occuper des mort par rapport au vivant. Ils ne critique pas, ne discute pas. II ont un fonctionnement bien précis, à l'opposé de l'âme humaine, imprévisible, volatile et insaisissable. Il est plus simple pour moi de découpé un corps que d'avoir une conversation. Ne me méprenez pas, je ne dis pas que c'est amusant.
La dissection est comme une série de question où vous chercher les réponses.
Question : Depuis quand est mort cette personne ?
Réponse : Quelque heures à tout casser. Les gaz et déchet ne se sont pas encore libérés. Mais au vue de la pâleur, il était déjà mort à la fête.
Question : Que faisait-il à la fête ?
Réponse : Pas assez d'élément pour le déterminer, mais ça visait un membre de panthéon
Question : Comment bougeait-il si il était mort ?
Réponse : Un autre nécromancien ? On a déjà vu ça non ?
Négatif, je ne détecte pas l'odeur glacé caractéristique
Question : comment bougeait-il si il était mort ?
Suggestion : inspection abdominale.
Fidèle à mes pensées, j'empoigna mon couteau. La lame froid et droite, coupa à travers la chair morte , et révéla quelque chose d'inattendue.
Ce n'étaient pas des organes, mais des serpents. Mort évidements, mais des centaine de serpents tout-de-même.
N'importe qui aurait régurgiter son repas à cette vision. Moi, je ne ressentais qu'une vague curiosité maitrisé face à ce spectacle. Alors un par un, je découpa les serpent, j'inspecta leur crane, et vin la conclusion :
Question : celui qui contrôlait les serpent était proche pour un tel niveau de précision, comment on le trouve ?
Réponse : On fait appel à Horus.
Petit problème, Horus patrouille avec ses troupe dans la ville pour interroger les citoyens.
Question : en quoi c'est un problème ?
Réponse : Les gamins qui traine encore la nuit vont être terrifier en me voyant parcourir les rues.
Question : en quoi c'est un problème ?
Réponse : plus on me déteste, plus mon travail est dur.
Question : en quoi c'est un problème ?
...
En quoi c'est un problème ?
Ce n'est pas le tien.
***
Je ne me souviens pas de la dernière fois que j'ai marcher dans ces rues. Il y a dizaine d'année peut-être ? En réalité, je crois avoir oublier ce que cela faisait de marcher parmi les hommes.
Depuis que je suis membre du panthéon, tout est si distant, comme un mirage, un rêve illogique sans substance. Le vent ne me chatouille pas, le sable chaud ne me brule pas. les pire horreur ne m'affecte pas. Le monde entier est a une distance infinie de moi.
Je suis rapidement tiré de mes idées par deux odeurs familières. Un mélange subtile d'épice, sucré comme salé, et de lait. Ça et l'opium. Au coin de la rue j'aperçue Sobek et Horus, entrain d'interroger le voisinage. Horus ne prêtaient guère attention à la grâce infinie que ressentait le peuple, en le voyant ainsi, leur parlant comme s'il étaient égaux. Il ne portait attention réel qu'aux soldat qu'il commandait. C'était plutôt Sobek qui en usait. Charmeur et hédoniste au plus au point, il accordait à tout ses suivant et suivante une vie luxueuse de plaisir. Il ne perdait pas son aura de charme lorsqu'il prenait l'apparence d'un crocodile, allez savoir comment, certain aime ça même. Pour ce qui est de Râ, on pouvait aisément dire qu'il s'en foutait royalement, et moi... Généralement quand on me voit c'est que quelque chose d'horrible est arrivé.
Je tapota sur leur épaules et leur demanda :
- Sobek, je peux te confier cette histoire pour le reste de la nuit ?
- Euh... Je vais essayer. Mais tu m'en doit une ! fit-il d'un air dépité.
- Mmhgrbl...D'accord, Horus, viens, j'ai besoin de tes « compétence »
- D'accord ? Son air interrogatif était parasité par sa posture, qui pour une personne ordinaire laisserait penser qu'il retiendrait son souffle.
Nous nous écartâmes un peu, et nous nous dirigeâmes vers la nécropole, dont un vent frais, peut importe la situation, émanait éternellement. Par curiosité, je demandait ce qui avait valu la crispation de mon camarade :
-M'en parle pas, Sobek, ses favorite, et même certain de mes soldat n'ont pas arrêter de me regarder du coins de l'œil comme un animal affamé !
-Sobek ça m'étonne moyen, mais bon. Je ne vois pas ce que le reste de ton audience te trouve ! fit-je l'air moqueur
-Exactement ! c'est vraiment étrange.
-Heu..., c'était supposer être une insulte...
Il me regarda, les yeux écarquiller, comme si on expliquait l'agriculture a un nouveau née. Il était malin, mais pour ce qui est des interaction sociale, il est encore plus inapte que moi, car moi je comprends le sous-entendu au moins.
-Aller viens, j'ai besoins que tu gobe quelque globe oculaire pour moi.
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Le cœur à l'ouvrage
ParanormalLes particuliers étaient autrefois considéré comme des dieux... Dissimulé dans l'aride désert d'Egypte, la ville de Zerzura prospère, à l'abri du regard de tous, dirigé par 6 créature: Râ, Anubis, Sobek, Osiris, Bastet et Horus. Mais un monstr...