Pour la première fois depuis longtemps, mon corps agis comme celui des autres. Mes os ne grince pas, mon cœur ne fait plus de bruit bizarre, la lumière de la pièce n'est plus aveuglante.
Je me leva, pour la première fois, avec l'envie de rester endormis.
Mais bonjours la gueule de bois psychique. J'oublie d'éteindre mes récepteur corporel, et je me prend des centaine d'information contradictoire dans la figure. L'avalanche sensoriel me mettrait presque à terre, s'il n'y avait pas Râ pour me rattraper.
On ne peut lui retirer un certain sens du timing. Il m'avais attrapé, tout en réussissant à tenir à une main un plateau bien fournis.
Il me regarda, l'air éberlué et m'aida à me rassoir. Assis, je me tenais le crane comme un ivrogne qui avait trop bu.
- Tout va bien ?
Je repris mes esprit l'espace d'une seconde :
- Eh... je crois, attends...
Clic ! Plus de douleur, plus de vertige, le calme froid et habituelle.
- Ça va mieux.
Il faut vraiment que je me reprenne. Tout est désordonné dans mon esprit. J'entends Râ posé le plateau. Il y avait un pain chaud, et un verre de jus de fruits, qui fumait tellement il était froid.
- Je vais dispersé les autres, histoire que tu puisse sortir sans être vus, sinon il vont se poser des questions que je sais que tu va trouver douloureuse et ennuyante.
Je l'entend repartir dans le couloir. Au bout de ce couloir était la salle commune, qui était le lieu ou nous mangions, ou nous nous regroupons lorsque nous ne travaillons pas. Autant dire qu'on ne m'y vois jamais.
Ma vue commence a s'habituer et a analyser les environs. Les contours se forme, les couleurs se précise, et je percute que maintenant.
Je me précipita vers la penderie pour me couvrir, alors que je ne portais qu'une tunique. Les habit que je trouvais étais tous trop clair. J'improvisa, et j'enveloppa mes bras, mes mains et mes jambes dans des bandelette clair, que je serra intensément.
J'étais déjà plus présentable. Râ rentra pile lorsque je finis.
- Tu es près ? me demanda-t-il ?
- Tu te souviens de quel jour on est au moins ?
Nous somme au solstice d'hiver. Et bien que cette ville garde la même température, ce jour signifiait beaucoup pour le peuple. Et sa signifiait beaucoup de travail pour moi et Osiris. Un autre sentiment peu commun s'empara de moi : la panique.
- Bordel ! ou est Osiris ?
- Euh, entrains de rassembler les spectres.
- Combien sont déjà là ?
- Je ne les vois pas, je ne peux pas deviner.
Fais chier. Je me précipita dans la salle commune. Je sortie a toute vitesse du bâtiment, glissant presque sur le sable.
Je finis par arriver , là ou Osiris attendait. J'étais essoufflé.
Alors pour ceux qui ne l'on toujours pas compris, je n'ai pas beaucoup d'attente a remplir coté image publique(ma réputation la construit a ma place). Mais aujourd'hui, je suis supposé accomplir la seul et unique apparition de l'année.
Je note tout de même le visage blême de certains, lorsqu'ils se rendent compte de ma présence.
Bon, je suis presque à l'heure. Je tape trois fois dans les mains, et il n'en faut pas plus pour que des centaine de figures encapuchonné sorte par les porte de la nécropole. On aurait dit une nué, qui glissait presque sur le sable.
Il transporte des tables, des chaises, d'étrange victuaille... Tous se dirige vers les terrasse des fêtes.
Et nous aussi d'ailleurs.
***
L'intégralité des dieux était présent, assis a leur table, comme à leur habitudes. Horus était en train de discuter avec Erkan, Sobek était toujours en aussi bonne compagnie.
Le truc, c'est que Bastet et sa sœur étaient là. Elles se tenait juste à côté d'Osiris, pour me narguer. Connasse.
Râ m'avais laisser une place, à l'opposé de la table. Dieu merci (sans mauvais jeux mot)! Je me pressa de m'assoir.
Osiris, tout gêné, tenta de poursuivre la cérémonie, alors que les deux sorcières tentais de le déconcentrer. Je me contenta de leur lancer mon plus beau regard noir.
Une vague mélodie cristalline s'échappe des poumons d'Osiris, une vocalise presque spectrale.
Les spectres servant font leur apparition. Les fantômes se mêlent au vivants. Les amours perdues ressurgissent.
Les vivants et les morts danse à l'unisson.
VOUS LISEZ
Le cœur à l'ouvrage
ParanormalLes particuliers étaient autrefois considéré comme des dieux... Dissimulé dans l'aride désert d'Egypte, la ville de Zerzura prospère, à l'abri du regard de tous, dirigé par 6 créature: Râ, Anubis, Sobek, Osiris, Bastet et Horus. Mais un monstr...