Le Chevalier d'or

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Emma entre dans le restaurant, elle va s'asseoir à la table de Mary Margaret et Clara.

Clara : Qui c'était ?

Elle parle du motard avec qui Emma parlait dehors.

Emma : Je ne sais pas encore.

Mary Margaret : Ah tiens. Et tu vas le découvrir ?

Emma : Laisse, c'est rien.

Mary Margaret : Avec toi, rien, c'est pas rien, parce que si c'était rien, on serait pas en train d'en parler.

Emma : Tu m'excuseras, je croyais que tu m'avais appelé pour parler de toi.

Mary Margaret : Ouais, mais là, c'est plus facile de parler de toi.

Emma : Qu'est-ce qui a ? Qu'est-ce qui se passe ?

Mary Margaret : Tu te rappelles quand tu m'as dit de plus voir David et que j'étais d'accord avec toi ?

Emma : Oui.

Mary Margaret : J'ai craqué.

Clara : Ouais, on sait.

Mary Margaret : Comment ?

Clara : Je vous ai vu au milieu de la rue.

Emma : Et tu es une institutrice amoureuse. La discrétion, c'est pas ton fort !

Mary Margaret : Non attends, j'ai été... Été discrète.

Emma : Deux tasses à thé au fond de l'évier, nouveau parfum, décolleté plongeant, soirées tardives, c'est pas difficile de deviner.

Mary Margaret : Plongeant ?

Emma : Quand je t'ai connu, ma chère, tu étais le genre de fille boutonnée jusqu'au col.

Mary Margaret : Pourquoi tu n'as rien dit ?

Emma : Je suis pas ta mère.

Mary Margaret : C'est vrai, je suis la tienne d'après Henry.

Emma : En fait, je me suis simplement dit que tu en parlerais quand ce serait le moment. Je suppose que le moment est venu ?

Mary Margaret : Il va le dire à Kathryn.

Clara : Quoi ? Tout ?

Mary Margaret : Il va tout lui dire.

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Clara va à l'école quand Mary Margaret raccroche.

Mary Margaret : Clara ? Pourquoi t'es ici ?

Clara : Je voulais qu'on parle du prochain événement.

Mary Margaret et Clara marchent dans les couloirs.

Kathryn entre dans le couloir. Elle percute un professeur de sport.

Professeur : Oh ! Eh ! Faites attention !

Mary Margaret : Kathryn ? Oh... Je suis désolée.

Kathryn baffe Mary Margaret.

Nouveau flash pour Clara.

Milena : Bien... Qui commence ?

Killian : Les Dames d'abord.

Milena : Peter Pan a essayé de m'embrasser et je lui ai collé une gifle.

Kathryn : Vous pouvez vous les garder vos désolés !

Mary Margaret : Je... Je comprends très bien que vous soyez en colère, c'est normal.

Kathryn : Merci pour cette analyse.

Mary Margaret : Si nous pouvions... S'il vous plaît, aller parler en privé ?

Kathryn : En privé ? Pourquoi j'aurais de la considération pour vous ? Vous en avez eu aucune pour moi ! L'un comme l'autre, vous avez menti sans arrêt !

Mary Margaret : Écoutez... Écoutez, on aurait dû vous parler plus tôt, mais nous n'avons pas menti, nous avons toujours été honnêtes...

Kathryn : Toujours honnêtes ? Vous avez tout manigancé. Vous lui avez demandé de me quitter en lui racontant des mensonges débiles ! Du genre, il est en plein malaise, il ne veut pas gâcher ma vie... Apparemment, il n'y a plus de malaise quand il est avec vous.

Mary Margaret : Il ne vous a rien dit pour nous deux ?

Kathryn : Bien sûr que non ! Pourtant, ça aurait été bien plus honnête.

Mary Margaret : Mais il m'a dit qu'il vous le dirait.

Kathryn : Eh bien, il vous a menti à vous aussi. Bonne chance pour votre grande histoire. Vous vous êtes bien trouvés tous les deux !

Kathryn part.

Clara : Mary Margaret ? Ça va ?

Mary Margaret part.

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Le lendemain matin, Clara fait du jogging dans la forêt.

Elle arrive à la route qui sort de Storybrooke et voit une voiture au loin.

En s'approchant, elle remarque que la voiture est accidentée.

Clara : C'est la voiture de Kathryn...

L'airbag est sorti, il n'y a personne à l'intérieur.

Clara : Kathryn ?

Rien.

Clara : Kathryn !

StorybrookeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant