On entre brutalement dans la chambre et Toya fou la plus grosse patate de tous les temps au médecin.
T/P : Toya...
Elle se tort de douleur, c'est pas beau à voir. Je me dépêche de la détacher, ensuite je la prend sur mon dos, Toya nous ouvre le passage avec ses flammes, je vois qu'il les contrôle mieux qu'avant malgré la rage qu'il a dans les yeux. Je ne l'ai jamais vu aussi énervé... T/P, tu l'as complètement changé notre Toya. On sort enfin et on retourne dans ma voiture, Toya monte à l'arrière avec T/P. Elle s'est évanouie sur mon dos. Je roule le plus vite possible, j'appelle notre infirmière préférée qui n'est autre que Recovery Girl. Elle accepte d'accueillir T/P pour la soigner.
Dabi : Où tu vas comme ça ?
Hawks : A UA. Recovery Girl veut bien la soigner.
Dabi : Et pour rentrer ?
Hawks : Elle va nous faire passer par derrière. On va la sauver ne t'inquiètes pas.
On arrive rapidement à UA et comme promis Recovery Girl nous attend pour soigner T/P. Cette fois c'est Toya qui la prend sur son dos. On est donc tous les 4 dans l'infirmerie de l'école.
Recovery Girl : Qu'est-ce qu'il s'est passé pour qu'elle finisse dans cet état ?
Hawks : Les scientifiques voulaient sûrement découvrir son alter...
Recovery Girl : Ceux là alors...
Dabi : Dites-moi qu'elle va bientôt se réveiller...
Recovery Girl : Malheureusement je ne peux pas prévoir ce genre de choses mon garçon. Il va falloir expliquer la situation aux professeurs et au proviseur, Hawks, je ne pourrai pas la cacher éternellement.
Hawks : Je vais m'en charger de suite.
Dabi : Attend, je viens avec toi.
Hawks : Tu ferais mieux de rester avec elle.
Dabi : Non, je t'expliquerai plus tard mais si je parle aux professeurs je peux la sauver elle, sauver notre couple et sauver UA par la même occasion.
Hawks : Ok viens avec moi.
Point de vu de Dabi :
On arrive rapidement dans une salle où les professeurs sont réunis, ils tirent une de ces têtes quand ils voient que j'accompagne Hawks. Après une brève phrase d'introduction de Hawks pour résumer la situation ils ont décidé de tous m'écouter.
Dabi : Je vais essayer de vous présenter la situation et mon plan assez brièvement. L'autre jour, quand T/P s'est infiltré ici, elle voulait s'amuser, voir qui était mon frère, elle n'est pas méchante et n'a jamais pensé une seule seconde à faire du mal à qui que ce soit et surtout ça ne sera jamais son but. A l'heure qu'il est, l'Alliance des Supers Vilains prépare un plan d'attaque. Ils veulent attaquer UA. T/P ne voulait pas faire partie de ce plan et par ma faute elle est dans un état grave. Je pense qu'on peut arrêter l'Alliance mais il faut me faire confiance et avoir confiance en T/P. On va jouer un jeu d'agents double si vous le voulez bien. On fera comme si on acceptait leur plan. T/P jouera son rôle, mais quand on arrivera avec l'Alliance, il faut qu'un maximum de héros soient à UA pour les maîtriser.
Aizawa : Si tu nous dis quel est son alter on pourra envisager de vous faire confiance.
Dabi : C'est simple, elle contrôle le temps. Elle m'a expliqué qu'elle ne peut pas aller dans le futur, elle peut retourner dans le passé d'environ 60 secondes au grand maximum, au delà ça la tuerai. Et le plus important c'est quelle peut tout simplement arrêter le temps. Arrêter tout objet ou alter extérieur à un être humain. En revanche, son alter ne marche pas sur d'autres humains qu'elle, par exemple elle ne peut pas nous figer là, en revanche si l'un de nous est blessé et qu'elle remonte le temps la blessure ne sera plus là, c'est une des subtilités de son alter. Son alter ne marche pas non plus sur un alter encore à l'intérieur d'un être humain. Son rôle, va donc être de désactiver l'alarme pour que les méchants puissent rentrer en pensant qu'aucun héros n'est dans le lycée et surtout qu'ils n'arriveront pas avant un bon moment. Sauf que selon mon plan, les héros seront déjà tous là.
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Crématorium | FRENCH
FanficCeci est une fanfiction racontant l'histoire entre T/P et Toya Todoroki, plus connu sous le nom de Crématorium ou Dabi. Suivez tout au long de 16 chapitres les aventures de Toya et T/P. Les images ne m'appartiennent pas ! Cette histoire traîte parfo...