7 minutes au paradis : Jean x Reader (SNK) Lemon

368 9 3
                                    

Commande de @TheCocaLight ! En espérant que ça te plaise ( même si personnellement, je le trouve moins bien que d'autre) ! Je n'ai fait que du lemon soft, cette fois-ci.

-----

Il lui avait demandé si elle voulait les rejoindre à leur soirée, en la croisant sur le chemin. Elle ne semblait pas forcement avoir le moral, cela lui avait fait de la peine. Elle avait accepté, à sa grande surprise, elle qui n'était pas forcement très fan de soirée. T/p était une grande solitaire et une personne assez introvertie. Elle s'était donc jointe à eux, parlant peu sur le chemin. Arrivés sur le lieu de la soirée, elle afficha un grand sourire éblouissant, tandis que Jean la veillait du regard. Un mauvais pressentiment le prit, lorsqu'il croisa le regard de l'organisatrice de la soirée, Hange. D'un seul coup, elle leva les bras en l'air, attirant l'attention de tous sur sa personne.

- Hey, les gars ! Ça vous dit un sept minutes au paradis ? Cria-t-elle, provoquant les acclamations des autres jeunes. Niquel ! On va le faire au tirage au sort, ce sera plus drôle !

Chacun mit son nom, sauf Jean qui mit celui d'Eren, n'ayant pas vraiment envie d'y jouer. Lorsque tout fut installé, dans le chapeau qu'elle avait déniché quelque part, dans sa villa, Hange plongea la main dedans, un sourire jusqu'aux oreilles, avant d'en sortir avec deux magnifiques petits papiers soigneusement pliés.

- Alors d'abord... T/p ! Je te laisse rejoindre le placard de l'entrée, juste sous l'escalier, ma chérie...

T/p partit donc, embarquant au passage une bouteille d'alcool, le sourire constamment sur ses lèvres pour brouiller les pistes d'une tristesse sous-jacente.

- Avec elle, Jean ! Rit Hange, en voyant son regard devenir fuyant.

Évidemment... Jean, sur de sa tricherie, soupira avant de s'exécuter. Il traversa la pièce, sous les sifflements de tous les mecs en chaleur de l'assemblée pour ne pas dire tous les mecs... Il ouvrit la porte délicatement trouvant T/p assise, entrain de balancer ses jambes d'avant en arrière, comme un métronome.

- Hey ! Salua-t-il, embarrassé.

- Oh, c'est toi, Jean. Que veux-tu qu'on fasse ? Dit-elle, en buvant une gorgée de vodka, sans grimacer.

- Euh... C'est-à-dire ?

- Bah, pendant sept minutes....

- Oh, je pensais discuter...

Elle le regarda, comme s'il sortait d'une autre planète. Elle posa la bouteille, en posant une main sur son front, pour enlever les mèches qui s'y étaient collées.

- Dites-moi que c'est l'alcool qui me fait délirer... Toi, tu n'as jamais fait de sept minutes au paradis...

- Effectivement...

Soupirant, elle se leva assez souplement avant de s'approcher de lui, qui se sentit bizarre. Il eut l'envie de reculer, mais se retint.

- Je sais que ça va pas, t/p... J'aimerais simplement savoir pourquoi.

- Je me suis faite larguée par mon mec... Mon ex, du coup... Je n'ai pas ultra envie d'y penser, vois-tu...

Jean se rendit compte de sa bêtise et se frotta la nuque d'embarras.

- Je...

- T'excuse pas... Il m'a largué parce que je suis amoureuse de toi... Et si je vais si mal, c'est parce que je ne pense pas...

- Je t'aime aussi t/p...

Il fonça alors, sans réfléchir, l'embrassant avec passion. Elle ne broncha pas, se laissant simplement porté pour le moment. Ce qu'elle n'avait pas su c'est que Jean était amoureux d'elle depuis déjà deux ans, l'avait regardé avec d'autre sans jamais rien dire et avait attendu ces mots durant des mois. Les voilà, enfin... Elle aussi l'aimait depuis des mois, mais n'ayant jamais pu le cerner, n'avait jamais osé lui annoncer. Alors, lorsque leurs corps s'étaient touchés, ils s'exprimaient directement. Un feu s'alluma dans leur corps, augmentant la température de quelques degrés, tandis que des mains se firent baladeuses. Ce ne fut que lorsque deux coups furent frappés à la porte du placard, qu'ils se stoppèrent. Eh oui... Ils avaient oubliés ça... Déjà sept minutes ... ? Jean prit son courage à deux mains, avant d'ouvrir la porte du placard, cachant T/p dans son dos, pour ne pas que l'on puisse remarquer qu'elle avait perdu son haut.

- Hange ?

- Ça fait dix minutes Jean.

- Et ?

- Et bah c'est bon, vous pouvez sortir.

- Oui, mais non. Laisse-nous tranquilles, tu veux ?

Sur ces derniers mots, il claqua la porte au nez de l'hôte avant de la bloquer de l'intérieur, grâce à un balai, qu'il coinça dans la poignée de la porte et derrière un tuyau de canalisation. Il revint alors à la charge, ressentant déjà le manque de la chaleur du corps de T/p, qui l'accepta sans aucun problème, en nouant ses jambes autour de la taille du châtain. Ce dernier soupira de plaisir, lorsqu'une des mains de sa partenaire se faufila dans son dos, sous son haut. D'un geste sec, celui-ci eut son t-shirt arraché, le laissant torse nu, sous son regard amusé.

- Impatiente ?

- Si tu savais, Jean...

- Alors je ne vais pas te faire languir, ce serait cruel, non ?

Il en leva les boutons de la jeune fille, un à un, lentement, faisant donc tout le contraire de ce qu'il disait. Le souffle calme devenant de plus en plus haché par l'attente et l'excitation de sa partenaire fut la seule réponse qu'il obtint. Il fit glisser les deux plis le long des épaules de la jeune femme, révélant par la même occasion des formes sublimées par un simple bout de tissu alléchant.

Il se pencha alors délicatement vers a gorge, laissant courir son souffle dessus. Il finit par déposer ses lèvres à leur tour sur la peau gracile lui faisant lâcher un soupir alors que ses deux mains embrassèrent la courbure des reins jusqu'à ce qu'elles atteignirent les agrafes au creux de ses omoplates. D'un geste vif, il les défit, laissant tomber la dernière barrière qui le gênait. Sa main qui était remontée passa recueillir en coupe un de ses seins pour le titiller à loisir. Enfin, sa seconde main se faufila sous les dernières barrières de tissus, approchant du point qu'il savait sensible, qu'il titilla à son tour, lui faisant lâcher cette fois-ci une douce plainte excitée. Il sentit alors une chaleur dans son bas ventre.

- Déjà humide ?

Il ne s'attendait néanmoins pas à ce qu'elle déboucle sa ceinture d'un geste rapide, avant de faire apparaître sa verge déjà bien douloureuse.

- Et toi donc... Fit-elle, lorsque les mains de Jean s'activèrent pour au final retirer toutes ses barrières de tissu devenus trop gênantes.

Tant pis pour la faire languir. Toutes barrières tombées, Jean souleva contre lui sa belle, la bloquant contre un des murs, les jambes de T/p déjà arrimés à sa taille.

- Prête ?

- Depuis longtemps... Prends moi, Jean.

- A tes ordres, princesse...

D'un coup de rein, il accéda à sa demande, tandis que leur chaleur respective ne formaient plus qu'une.

---

Oui, je suis une sadique. Je m'arrête là !

Recueil d'os commandés en tous genresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant