Insensible [FANFIC NARUTO]

XXII

Le goût de son sang et de celui du Uchiha lui était désagréable.

- Itachi ! On est plus seuls !

Il tournat sa tête face à Ayame.

- Tu crois vraiment que Kakashi pourra faire quoi que ce soit contre moi !

Avant qu'elle put répondre, un autre le fit à sa place.

- Je suis là aussi Itachi !

Kakashi et Gaï étaient arrivés.

Jamais Ayame ne se sentit autant heureuse de les voirs arriver.

- Lâche-la tout de suite Itachi. Je ne me répéterais pas.

Itachi savait qu'il pouvait rivaliser contre Kakashi, mais contre Gaï aussi il avait des doutes. Il ne s'était pas préparer à échouer dans sa mission.

- Nous ne sommes pas ici pour provoquer une guerre.

- Ce que tu fais là, c'est pire qu'une guerre. Ne touche pas Ayame.

Il ne prit pas le temps de lâcher un regard au Sensei.

Il resta fixe sur la jeune femme.

- Tu l'aime vraiment lui ?

Une larme coula sur la joue d'Ayame.

- O-Oui.. Itachi.. Je ne veux pas encore te perdre pour ce genre de sautises..

- C'est trop tard pour moi.

Il serrât les dents et se releva.
Avant de partir, il prit soins de toucher le front de Ayame avec son index et son majeur.
Il rejoignit Kisame.

Kakashi accourue aider Ayame à se relever.

- Itachi ! Ce n'est jamais trop tard pour..

- J'ai dis que ça l'était. On a assez discutés.

Plus personne ne parlait.

Elle sentit que.. c'était peut être la dernière fois qu'elle voyait Itachi..
Avec tout ce qu'ils ce sont dits, elle ne voulait pas le perdre une deuxième fois.

Des larmes coulèrent amèrement sur son visage meurtrit.

- Prend soins de toi Ayame..

Elle crut apercevoir une larme couler des yeux de Itachi avant qu'il parte.

Une ruée de corbeaux autour de lui.

Elle essuyat ses larmes et elle prit Kakashi dans ses bras.

- Ayame..

- Je ne sais pas pourquoi.. Je suis si triste et.. anéantie..

Elle se retenait de pleurer.

Kakashi avait beaucoup de peine pour elle.

Il savait toute l'histoire.

Avec les recherches qu'ils ont faits lui et Tsunade, ils avaient trouvés toute leurs réponses.

- Pleure si ça te soulage. Tu a le drois.

Elle s'effondra.

Comme jamais au part avant.

Elle avait l'impression de perdre un membre de sa famille.

C'était une douleur indescriptible.

Il releva le menton de la jeune femme, et il l'embrassat avec beaucoup de tendresse.

- C'est mieux comme ça.

- O-Oui..

Elle ne lui en voulait pas de lui avoir caché la vérité.