Insensible [FANFIC NARUTO]

XVIII

- Aller viens m'aider j'en peu plus de toute cette paperasse...

- Tsunade tu m'a obligée à m'entraîner avec Kakashi. Tu assume.

- Mais il est bientôt 9h du matin..

- Justement c'est pour ça que je dois y aller, j'étais juste passée dire bonjour.

- Ça se passe bien ?

- Ça fait 2 semaines que je le vois tout les jours donc bon..

- Ça change pas de d'habitude vous êtes tout le temps ensemble.

- N'importe quoi...

- Mais si tu peu pas le nier..

- Bref.. J'y vais !

Ayame sortit par la fenêtre pour se dépêcher sur place.

9h13 et aucune nouvelle du Sensei.

Il arriva aux alentours de 9h30.

- En retard Sensei.

- J'ai eu un empêchement..

- Comme toujours..

Pendant l'entraînement elle y songeait pas mal à ces retards répétitifs.

Le lendemain, elle n'attendit pas une minute de plus.

Elle essaya de le chercher.

Contre toute attente elle le trouva devant un mémorial.

Il avait l'air perdu dans ses pensées.

Elle partit, gênée.

- Un empêchement hein..

Elle fut attristée.

On aurais dis elle a la mort de Hiruzen.

- Ayame ! Désolé j'ai encore eu un..

- Empêchement.. Ce n'est rien..

Elle essayait de sourire pour faire bonne figure et le Sensei ne semblait se rendre compte de rien.

Pendant l'entraînement, elle se trouvait être un peu moins motivée.

- Bon.. Ayame. Tu a trouvée un moyen de gérer mes attaques électriques ?

- Je ne l'ai pas testée.. Je ne sais pas ce que ça pourrait donner..

- Tu va bien? Tu n'es pas très..

- Oui! Ça va ! Un peu fatiguée sûrement.

- Si tu le dis..

Il souffla et attaqua la jeune femme sans la prévenir.

Elle fut surprise.

- Kakashi !

Il l'attaquait sans s'arrêter.

- Bordel !

Elle ne comprenait pas ce qu'il avait en tête.

Puis vint une attaque électrique.

Elle n'eu pas le temps de réfléchir et elle fit la technique qu'elle n'avait pas encore testée.

- Non !

Une explosion fit face.

Elle était sonnée.

Dos au sol à moitié sourde.

Elle ouvrit difficilement les yeux.

Elle n'avait mal nul part.

Au dessus d'elle, le visage à quelques centimètres du siens, le sensei.

Il avait dû la protéger.