Mulan

Chapitre 12 : Accepter est la seule option.

Jude : C'est à toi de le découvrir. C'est terminer Jackal ramène là dans sa cellule.

Jackal : Oui chef.

Jude sortit de la salle.

Jackal : Bien maintenant que nous sommes tout les deux seules, loin des regards ça te dirais te t'amuser avec moi ?

Lucy : Hein ramenez moi dans ma cellule.

Mais avant que Lucy ne puisse dire autre chose Jackal lui mis un tissus dans la bouche et le noua derrière sa tête. Lucy commence à pleurer elle ne savait pas quoi faire appart accepter son sort. Elle ne voulais pas l'avouer mais elle savait très bien ce qui allait se passer. Jackal commence à se rapprocher d'elle. Il met sa main sur sa cuisse pour remonter vers son entre jambe. Lucy essaye de se débattre avec ces jambes mais rien n'y fait.

pdv Lucy :

Je suis tétaniser. Que faire ? Je sens sa veille main parcourir mon corp. J'ai juste envie c'est de vomir. Mais je n'ai pas le choix que d'accepter. Si je me rebelle l'évasion sera un échec. Je ne peux pas penser qu'égoïstement qu'à moi. Je dois supporter cette étape. Accepter est ma seule option pour sauvez tout les autres. Jackal commence par me lécher le visage puis il descend petit à petit dans mon coup. Ces mains commences à s'emparer des mes seins et à les masser. Des frissons de dégout s'empare de moi. Je n'ai qu'une envie de lui cracher à la gueule. Il commence à frotter sa partie intime contre la mienne, je la sens se durcir et se contracter. De chaude larmes commencent à s'emparer de mon visage. Elles coulent à flot. 

Toc toc toc.

Quelqu'un viens de frapper à la porte. Un soldat rentre.

Soldat : Le maître veut vous voir d'urgence Jackal. Je dois raccompagner la prisonnière à sa cellule.

Jackal : Bien.

Il tend sa bouche au creux de mon oreille.

Jackal : On s'amusera demain.

Il me retire le foulard. Ni une ni deux je lui crache dessus.

Lucy : Plutôt mourir.

Jackal : Petite insolente.

Il me mit une gifle puis le soldat me raccompagne dans ma cellule. Les filles viennent à toute vitesse vers moi. Mais je ne pu m'empêcher de pleurer.

Mira : Lucy que c'est-il passer ?

Lucy : Jackal ... Il ... il m'as 

j'éclata en sanglot.

Reby : Chut, chut tout va bien maintenant nous sommes là. Dès ce soir tout sera fini. Repose toi maintenant.

Jubia : Nous te réveillerons quand les garçons arriverons.

Du coté des garçons :

Luxus : Bon les gars tout le monde sait ce qu'il doit faire alors aucun faux pas. Allez c'est partie il est l'heure.

Les gars arrives vers les cellules. Ils inventent un mensonges pour pouvoir avoir la garde des prisonniers. Une fois les vrai gardes parties Gageel ouvre la cellule des filles.

Gray : Allez les filles on se magne, Juvia avec moi.

Luxus : Mirajane avec moi.

Gageel : Reby avec moi.

Reby : Natsu il faut réveiller Lucy. Fait très attention elle est rentrée de sa torture en pleure. On ne sait pas trop ce qui c'est passer et on a préférer qu'elle se repose au lieu de nous le dire.

Natsu : entendu ne t'inquiète pas.

Natsu réveilla Lucy. Elle eu un peu de mal à se lever mais dès qu'elle repris bien ces esprits, elle se secoua et se repris pour ne pas être un frein au groupe. Avec aucun encombre ils arrivent à l'écurie. Ils prennent 3 chevaux et s'enfuie dans la plus grande des discrétions. Mais quelque chose perturbais Lucy.

pdv Lucy :

On était en route vers l'ancien camps de la garde. C'est là ou je me suis fait passer pour un garçon mais quelque chose me chiffonnais. Je n'arrêtais pas de me rappeler les paroles de mon père " Si tu ne veux pas venir avec moi je me chargerais d'aller chercher ta successeuse". Ces mots me trouble. Qui est-elle ?

Natsu : On est arrivé. Bon Luxus, Gray, Gageel vous allez monter les tentes. Il en faut une pour chaque personne. Les filles occuper vous des vivres pour qu'on mange bien ce midi et ce soir. Moi je m'occupe du feu.

Tout le monde : D'accord

Natsu : Lucy toi tu te repose. 

Lucy : Non je n'en ai pas envie.

Natsu : Tu ne discute pas va te reposer.

Lucy : Mais tu t'es pris pour qui t'es pas mon père. Je fais ce que je veux. Crias-je

Natsu : T'es comme ton père, tu aimes désobéir aux règles.