Aurore et William : Une histoire est t-elle toujours possible entre eux ?

Chapitre 9 : Une vengeance.

Aurore se réveille enfin dans un endroit sombre, elle est attachée.
L'homme : Ca y est on est réveillé ?
Aurore : Vous me voulez quoi ?
L'homme : T'as la mémoire courte je crois ?
T'as oublié qu'à cause de toi mon père est mort en prison et que ma mère ne supportait pas d'être loin de lui s'est donnée la mort trois mois plus tard, que j'ai été de famille d'accueil en famille d'accueil tout ça à cause de toi.
Aurore : Ton père avait tué une gamine c'était normal qu'il paie.
Il lui fout une claque.
L'homme : Tu vas la fermer un peu ! J'ai mis longtemps à te retrouver mais maintenant je vais te le faire payer.
Aurore : Mes collègues vont me retrouver.
L'homme : Tu seras morte quand ils te retrouveront.
Je veux que ton mari et ta fille voit la douleur que j'ai ressenti.
Aurore : T'es complètement malade.
L'homme : Il a de la chance ton mari t'es bien foutue quand même pour une flic. Tu me donne envie.
Il la touche mais elle se laisse pas faire.
L'homme : Si tu veux pas que j'abime ta belle gueule tu vas te laisser faire.
Il l'embrasse dans le cou, lui touche les seins.
William est inquiet sa femme n'est pas rentrée de la nuit, ses collègues n'ont plus de ses nouvelles.
Martin : Elle a été enlevée.
William: J'avais compris merci je vous demande de la retrouver.
William décide d'en parler à Samuel.
William : Elle a été enlevé, si il lui arrive quelque chose je m'en remettrai pas.
Samiel : Moi aussi je m'en remettrai pas on va la retrouver je te jure.
William : On sait même pas où elle est.
Samuel : On va chercher nous mêmes dès qu'on a une piste on prévient ses collègues.
William : T'as raison. Je suis désolé pour ce que je t'ai dis.
Samuel : On s'en fout on a parlera plus tard le plus important c'est de retrouver Aurore.
William : J'ai peur de ce que ce type pourrait lui faire.
Samuel : Elle va pas se laisser faire crois moi.
William : C'est ça qui me fait peur.
L'homme se donne à cœur joie de frapper Aurore, de la toucher.
Aurore : Laisse moi partir !
L'homme : Jamais de la vie. Je vais te faire payer toute ma vie que t'as foutu en l'air.
Il s'apprête à la violée.