Après leur séparation à Ormuz avec Mendoza et les marins, Esteban, Zia et Tao trouvèrent les trois dernières cités d'or, mais une question se pose toujours: Pourquoi ont-ils été choisi? Dans la septième cité d'or, ils découvrent une prophétie qui va...
Isabella avait rejoint Mendoza et ses amis. Les enfants lui avaient expliqué la situation, elle avait été comme les marins avant elle de savoir que le but des cités d'or était de préparer les enfants à détruire une créature maléfique. Laguerra avait décidé de les aider.
Quand la nuit tomba, Zia trouva Esteban assis dehors en train de regarder le ciel. Elle vint s'assoir près de lui.
-Tout va bien Esteban? demanda-t-elle.
-C'est toi Zia, dit-il en se tournant vers elle.
La jeune Inca comprit que quelque chose n'allait pas alors elle lui fit un sourire doux.
-Tu t'inquiètes pour cette histoire de héros?
Esteban hocha lentement la tête. Zia posa une main rassurante sur son épaule.
-Ne t'en fais pas, dit-elle avec une voix douce. Tu n'es pas seul. Tao, Léa, Angélina et moi sommes avec toi. Il y a aussi Mendoza, Isabella, Pedro ,Sancho et les autres fées. Ils ne nous abandonneront pas.
-Merci ma Zia, dit Esteban avant de lui embrasser la joue.
Zia rougit et lui sourit.
-Esteban, il faut que je t'avoue quelque chose, dit-elle un peu hésitante.
-Vas-y, lui dit-il avec compréhension.
-Je t'aime, finit-elle par avouer. Je t'aime depuis le jour de notre rencontre, depuis le jour où tu m'as promis de me protéger et de veiller sur moi. Je t'aime Esteban.
Esteban, touchée par les mots de sa Zia, sourit et la prit dans ses bras.
-Moi aussi Zia. Je t'aime.
Ils s'emlacèrent et s'embrassèrent avec amour et passion.
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Au loin, Léa les regardait s'embrasser en souriant.
Soudain, un nombreux souvenir traversa l'esprit e la jeune fée.
Léa était assise sur le balcon de sa chambre, un vieil homme vint près d'elle.
-Grand-père! dit-elle en se tournant vers lui.
-Bonjour ma petite fleur de printemps, dit-il en souriant.
Il remarqua que sa petite-fille avait l'air triste.
-Pourquoi ma fleur est-elle triste?
-C'est juste que je me sens souvent si seule à l'école juste parce que je suis une princesse, j'aimerais seulement être une petite fille comme les autres.
Son grand-père lui fit un sourire compatissant et la serra contre lui.
-Ma petite fleur de printemps, tu n'es pas une petite fille comme les autres. Tu as un grand destin qui t'attend. Crois-moi bientôt tu ne seras plus seule, tu auras une amie qui sera chère à tes yeux.
-Tu en es sure?
-Oui.
Léa sourit et se jeta dans les bras de son grand-père.
-Merci grand-père!
Léa sourit à ce souvenir. C'était un des plus beaux dans sa vie, tout comme sa rencontre avec Angélina.
De son côté, Angélina regardait les étoiles dans le ciel, pensive. Un souvenir la submergea.
-L'étoile de ma destinée?
-Oui, Angélina, un étoile qui t'appartient. Le jour où ta vraie destinée commencera. Tu auras à tes côtés une amie que tu considéras comme ta soeur et à qui tu seras très attachée. Un grand périple t'attendera.
Angélina regarda son père et lui sourit, consciente qu'un grand destin l'attend.
Angélina sourit au souvenir de son père.
Mais un souvenir la traversa. Des flammes se trouvaient ,elle voyait des armes et des soldats qui se battaient avec rage. Elle voyait un homme ayant été gravement blessé et un soldat lui planta une lame dans son coeur.
-Père!
Une larme coula sur la joue de la jeune fée. Elle sentit une présence derrière elle et se tourna et vit que c'était Léa.
-Angélina ça va?
Angélina baissa le regard. Léa la connaissait très bien pour savoir quand ça n'allait pas. E,le posa une main sur sa joue pour essuyer sa larme. La fée du coeur la regarda dans les yeux et se jeta dans ses bras.
-Tu penses à ton père, pas vrai?
-Oui.
-Tu sais, tu n'es pas seule. Tu as tes amis qui sont ta famille. Nous ne t'abandonnerons jamais. Je serais toujours là pour toi et je te protégerais comme je te l'avais promis quand nous étions enfants.
-Merci Léa, dit Angélina ,touchée par ces mots.
Les deux fées s'enlacèrent . Après avoir fini leur étreinte après plusieurs minutes elles se regardèrent dans les yeux. Le souvenir de leur rencontre les traversa.
Léa était assise dans un coin de sa classe seule tandis que les autres filles étaient allées s'amuser.
Une jeune fille de son âge s'approcha d'elle.
-Salut ça va? demanda-t-elle en souriant.
-Salut...,répondit tristement Léa.
-Moi c'est Angélina et toi?
-Léa.
-Tu as un joli nom.
-Merci ,sourit Léa. Le tien aussi est joli.
Angélina lui rendit son sourire,
-Pourquoi tu es seule?
-Je n'ai pas d'amies.
Angélina la regarda avec compassion et s'assit près d'elle en lui caressant sa joue. Léa ressentit une sensation chaleureuse, une sensation de bonheur.
-Moi je veux être ton amie.
-C'est vrai?
-Oui.
Léa sourit d'un sourire rempli de joie, Angélina le lui rendit avec un sourire doux, inpirant la douceur et la tendresse. Elles se regardèrent dans les yeux.
-Amies? dit Angélina en tendant sa main à Léa.
-Amie, dit Léa en prenant sa main.
Les deux filles s'enlacèrent ensuite. Une chaleur leur monta au coeur. Cette chaleur leur donnait comme une sensation de bonheur qui les rendait heureuse. Elles avaient l'impression qu'une part d'elles était incomplète, maintenant elles était complètes en trouvant une amie chère aux yeux l'une de l'autre.
Le souvenir de leur rencontre les fit sourire et les deux héritières s'enlacèrent à nouveau en sentant une sensation de bonheur en elles. Elles avaient parcouru du chemin et elles étaent prêtre sà livrer leur plus grand combat ensemble.
