L'année scolaire avait mal commencé pour Harry Potter. Le fils de James et Lily, avaient été attaqué par des détraqueurs.
Ayant utilisé le sort du patronus pour les chasser, il avait été convoqué par le ministère qui voulait le renvoyer et lui confisquer sa baguette.
L'intervention de Dumbledore avait heureusement éviter cela et à la rentrée, Harry était reparti pour Poudlard.Le 12 Square Grimmaurd était un véritable hall de gare.
Les membres de l'Ordre entraient et sortaient, à tout heure du jour. Les réunions se terminaient tard, et Edenn n'en voyait pas toujours l'utilité.Elle étouffait au sein de cette ruche. Molly était adorable, mais un brin trop autoritaire et intrusive.
Elle avait besoin d'air, de sortir, de voir des gens qui n'avaient pas que le mot guerre dans la bouche.Meredith était plongée dans un dossier, dans le bureau qui autrefois était celui d'Orion.
Edenn frappa et entra.
- Salut.
Méredith leva la tête de ses papiers et lui sourit.
- Salut Edenn.
- Qu'est ce que tu regardes ?
- Des documents qui situent les endroits où on a aperçu les principaux mangemorts.
Edenn fronça les sourcils.
- Je peux voir ?
- Bien sûr.Edenn jeta un coup d'oeil sur les photos. Les noms des mangemorts figuraient au bas.
Elle blémit soudain.
- lui, là, c'est qui ?
Elle montrait la photo d'un homme qui ressemblait trait pour trait à Roland.
- Lui ? Ah, tu as tiré le gros lot. Je te présente le psychopathe de service. Rabastan Lestrange. Mon propre frère.
- Ton...ton frère ?
- Oui, hélas. Celui là, c'est un vrai méchant. Voldy a trois bras droit.Elle prit trois photos.
- Elle c'est Bellatrix Lestrange. La cousine de Sirius et ma belle soeur.
Une psychopathe de très haut niveau. Celle là, elle aime plus tout faire souffrir. Elle n'a aucun état d'âme.Edenn observa la photo de la sorcière brune, à la longue et épaisse chevelure bouclée qui lui faisait une crinière autour de sa tête. Elle avait de petits yeux aux paupières lourdes.
Elle avait du être jolie, mais à présent, son visage émacié portait les stigmates d'une longue incarcération à Azkaban.- Et lui, c'est son mari, mon frère aîné, poursuivit Méredith. Rodolphus. Sans conteste, le plus intelligent des trois, il est rusé comme une fouine, et aussi dangereux qu'un cobra.
Edenn se plongea dans la contemplation de la photo.
Rodolphus et Rabastan se ressemblaient beaucoup, mais Rodolphus était plus fin que son frère, ses traits plus altièrs.- Et enfin, Rabastan. Une brute épaisse. Un violeur, il est sans scrupule, et sans conteste son plus grand plaisir est de voir la souffrance dans les yeux de ses victimes.
Edenn était incapable de quitter la photo du regard.
Celui lui semblait irréel. Comment Roland, cet homme si gentil, si généreux, drôle, pouvait il être un monstre insensible et cruel ?
Ça ne pouvait pas être le même homme.
En y regardant de plus près, elle y voyait quelques différences, peut être que ce n'était pas lui, après tout.- Dis, si je veux trouver des renseignements sur un sorcier, ici, à qui dois je m'adresser ?
Méredith fronça les sourcils.
- Comment s'appelle t'il ?
Edenn se mordit la lèvre.
- Roland...répondit elle d'un ton hésitant.
- Roland ! Et...C'est tout ?
Edenn se mordit de nouveau la lèvre.
- C'est tout ce que je sais.
- C'est mince. Tu sais combien de Roland doivent vivre en Angleterre ?
- Oui, je sais...mais j'ai une photo.Méredith soupira.
- D'accord, montre moi ta photo, je verrais ce que je peux faire.
- Bein...C'est que...
- Hum ?
Elle lui tendit la photo.
Méredith la contempla.
- Tu te fous de moi ?
- Je sais ce que tu penses, ils se ressemblent beaucoup.
- Ressemble ? Non Edenn, c'est lui, c'est Rabastan. Allez, accouche, dis moi tout, ou as tu connu ce Roland ?
- Ça ne peut pas être lui. Roland.. N'était pas comme tu le dis. C'était quelqu'un de gentil, de drôle. Il n'avait rien d'un monstre.
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La Fille D'Orion BlACK
FanficOrion Black décidé ,de quitter son épouse Walburga et ses deux fils Sirius cinq ans, et Regulus quatre ans, pour une femme, Aileen de Fleury, qui attend un enfant de lui la petite Edenn viendra au monde loin de l'Angleterre et de la guerre, jus...