Ou es tu ?

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C: J'ai réagi violemment. C'est dans ma nature.*Tu as du mal à réfléchir, il est trop près de toi.*
Toi d'une toute petite voix: Crematiorium... tu es trop près.* il rit et... te poussa pour t'allonger sur le lit, puis il se mis au dessus de toi. Tu déglutis en te mordant la lèvre, ton cœur tambourinant dans ta poitrine*
C: Et la... je suis trop près ?*demanda t il a une dizaine de centimètres de tes lèvres* réponds moi... *murmura t il, devant ton silence il laissa le bas de son corps se coller à toi. Ton ventre réagi aussitôt et un petit gémissement sorti de ta bouche. Il sourit et dirigea sa bouche contre ton oreille* Je t'ai demandé quelque chose...
Toi: Q-que v-veut t-Tu q-que je te d-dise ? *chuchota Tu d'une voix tremblante.*
C: Mon nom... je veux t'entendre crier mon nom. Mais... nous ne sommes pas seul... je me contenterai de te faire gémir.
Toi: Pardo- *tu fus coupée, il a posé ses lèvres contre les tiennes. Tu gémis et attrapa ses cheveux d'une main.*

Il mordit légèrement ta lèvre pour te faire ouvrir la bouche. Il t'embrassa avec passion, jouant de sa langue tandis que ses doigts descendaient le long de ton bras. Tu te figeas et gémis une fois encore quand ses doigts arrivèrent à toi poitrine. Il glissa ses doigts dessus malgré le tissus et quitta tes lèvres pour se redresser. A genoux, te dominant de sa hauteur. Il pris ta jambe pour la faire se plier et coller son bassin au tien. Puis il attendit. BON DIEU MAIS QUEST CE QU'IL ATTEND ?! N'en pouvant plus, tu tire sur sa veste pour le rapprocher de tes lèvres. Il sourit. Il donna alors un coup de bassin vers toi te faisant ouvrir de grand yeux surpris.

𝙵𝚒𝚗 𝚍𝚞 𝚏𝚕𝚊𝚜𝚑-𝚋𝚊𝚌𝚔

Toute les filles se mirent à rires alors que tu rougissais.

Toi: Enfin... je suppose qu'il est plus âgé. Je... je vais aller dormir.

Une semaine plus tard...

Tu n'avais toujours aucune nouvelle. Et tu n'en voulais pas bien sûr ! Mais... tu ne savais quoi penser. Les adultes avaient cessé de t'interroger. C'était inutile. Depuis le jeu action ou vérité, depuis que le souvenir t'étais remonté tu t'étais renfermée. Pensait il a toi ? Sûrement pas. Ton cœur se serra. Et toi aussi tu devais arrête de penser à lui. C'était la nuit. Et encore tu te réveillais en pleurs. Il hantait tes rêves. Tu aimerais que ce ne soit qu'un rêve.

Toi: Ou es tu ?.. est ce que je t'ai marqué comme tu l'as fait ? Je ne parle évidement pas du mot que tu as écrit sur mon épaule ! Tu ne m'aimes pas... je le sais. Mais... malgré ça. J'ai envie que tu reviennes.

Tu te tais. Les larmes coulent à flots. Et tu t'assis par terre. Tu n'arrives plus à dormir. C'est inutile. Une fois réveillée, c'est fini de dormir. L'odeur de Dabi flotte encore dans tes narines... tu fermes les yeux. Pour te remémorer son odeur... tu l'imagine...

Tu n'es pas seulOù les histoires vivent. Découvrez maintenant