Tu n'es pas seul

Dabi

{suite du flash back donc comme je l'ai dit avant, si vous n'aimez pas le lemon...}

Tu te figes alors, tendue. Tu n'avais jamais rien fait avec un garçon à part un baiser ou deux.

Toi: Dabi...
D: Détends toi. Tu vas voir... juste détend toi et laisse moi faire. *tu obéis et ferma les yeux. Sa main, tu ne sentais plus que ça. La chaleur qui émanait d'elle. La douceur de ses doigts, le monde autour avait disparu. Tu sursauta quand il arriva au but. Plus rien ne se passa. Lui au dessus de toi, regardant tout tes expressions de ton visage, sa main, ses doigts sur une partie de ton corps que personne d'autre n'avait touchée auparavant.

Toi: Qu'est ce qu'il y a ?*demande tu d'une voix tremblante*
D: Tu es amusante...

Il détacha alors la boucle de ton pantalon et s'en débarrasse sans même que tu ne t'en rendes compte. Te voilà seule avec lui, en sous vêtements. Mais tu arrête de penser. Il avait bougé ses doigts par dessus ta culotte certes, mais... la sensation avait été tel que tu t'étais agrippé à son bras. Il l'a retira. Quand son index te toucha tu eu l'impression de mourir de plaisir. Un gémissement franchit le cap de tes lèvres et tu ferma violemment les yeux. Mais il ne s'arrêta pas là. Il commença à bougé son doigt, de plus en plus rapidement. Inconsciemment, ton bassin commença à le suivre accélérant au rythme de la croissance de ton plaisir. Puis soudain un plaisir indescriptible t'envahît.

Toi: Ahh ! Dabi ! *tu pris quelque seconde à comprendre. Il venait d'enfoncer son majeur en toi. Voir son doigt, ainsi mis dans ton vagin... cela te rendait folle de désir. Tu l'aurai attirer pour l'embrasser si tu n'avais pas été enterrée sous le plaisir. Il bouge, fais des va et viens en toi alors que ton plaisir augmente, allant de plus en plus vite. Rapidement quelque chose en toi se dénoua et un jouissement te pris. Dabi retira son doigt qu'il lécha avant de s'allonger à côté de toi.

D: Tu te contenteras de ça aujourd'hui.

Ce fut les derniers mots que tu entendi de sa bouche avant que tu ne sombres dans le sommeil.

𝙵𝚒𝚗 𝚍𝚞 𝚏𝚕𝚊𝚜𝚑-𝚋𝚊𝚌𝚔

Tout était trop précis pour que tu l'ai inventé. Tu chuchotas alors à Shoto.

Toi: Je crois... je crois que j'ai le syndrome de Stockholm *sanglota-tu dans son cou alors qui te caressait doucement le dos*

Shoto. Shoto était doux, gentil, attentionné, plutôt mignon, fort, intelligent. Il sentais tellement bon... un seul et unique défaut. Il n'étais pas Dabi. Shoto t'emmena dans ta chambre pour que tu puisses lui raconter. Tu lui expliqua toute ta théorie.

Shoto: Si on en croit ce qu'on dit, le sentiment s'atténue plus on est loin de la personne et quand on retrouve la liberté.
Toi: cela fait déjà un mois.
Shoto: Mais tu es encore en plein dedans ! On arrête pas d'en parler, tu le vois partout ! Demain on part chez moi. Ça te changera les idées. D'ailleurs, maintenant que tu es innocentée, ta mère t'appelleras sûrement pour prendre de tes nouvelles.