Imagine

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Non. Tu ne pouvais pas avoir rêve ce moment te dis tu, dans les bras de Shoto.

𝙵𝚕𝚊𝚜𝚑-𝚋𝚊𝚌𝚔: 𝙹𝚘𝚞𝚛 29 ( tu as ete libérée le jour 31)

Tu lisais tranquillement un livre quand Crematiorium entra dans la pièce. Tu souris et le regarda s'assoir sur le lit. Il s'appuie sur le mur et te regarde. Tu l'ignore et reprends ton livre. Mais ce fut de courte durée, car une main s'approche de toi et se pause sur ton dos. Tu frémis à ce contact. Son autre mains prends ton livre et le jete de l'autre côté de la pièce. Il ne tarde pas à embrasser ton cou.

Toi: Crématorium...
D: Dabi. Mon prénom c'est Dabi *dit il d'une voix ferme avant de reprendre son exploration de ton cou*
Toi: Dabi... qu'est ce que tu fais ? *interroge Tu alors que ses mains descende sur ton ventre*
D: Allongé toi. *son ton ne laisse passer place à la question

{ Juste pour ceux qui déteste tout ce qui touche au lemon, ça peut être devenir chaud je ne sais pas encore jusque où, donc en gros, allez direct à la fin du flash-back, vous inquiétez pas ce n'est pas important c'est juste des détails non nécessaires.}

Tu t'exécutas tremblante. Il se mit au dessus de toi et recommença à t'embrasser. Il regroupa tes poignets au dessus de ta tête et les maintient d'un main. De l'autre, il soulève doucement ton t-shirt... Il lâcha tes mains, mais son regard en disait long, "ne bouge pas". Tu relevas les yeux vers le plafond alors que il déchirai ton t-shirt, le laissant découvrir ton soutien-gorge. Tu l'entendis rire et baisse les yeux. Quand soudainement, il attrapa un de tes seins et commença à jouer avec, ne te quittant pas des yeux.

Toi: Dabi...Mmh *tu essayais de te contenir, mais tes sourcils froncés parlaient pour toi*
D: 𝕷𝖎𝖙𝖙𝖑𝖊 𝖒𝖔𝖚𝖘𝖊... ça te plaît... retire ça.*il désigna ton t-shirt ou ce qu'il en reste, Tu le fis sous son regard plein de désir pour toi*

Sans que tu ai le temps de faire quoi que ce soit de plus, il te plaqua contre le matelas et appuie son bassin contre le tien. Ton cœur, battait si vite que tu te demandais si tu n'allais pas faire une crise cardiaque. Tu sens alors quelque chose de dur contre ta cuisse. Tu pris quelque seconde avant de comprendre. Tu relevas le visage vers lui, rouge. Il souriait. Ironiquement. Il se moquait de toi et de tes réactions. Tu tira sur sa veste pour l'attirer tout contre toi, un maximum de cinq millimètres entre vos lèvres. Tu perdus votre jeu de regard et glissa ta main dans ses cheveux. Une chaleur se fait sentir dans ton bas-ventre et sans t'en rendre compte, tu agrémente votre baiser de léger coups de rein. Sa main glisse le long de ton corps, faisant tomber des dizaines de frisson... elle descend sur ta cuisse... et remonte celle ci.

Tu n'es pas seulOù les histoires vivent. Découvrez maintenant