Chapitre 11

135 10 0
                                    


PDV d'Izuku.

Je retourne à l'école.

Le prof semble avoir quelque chose à nous dire. Est-ce que l'on me soupçonne de mentir sur mon alter ?

Je suis quelque peu stressé.

-Aizawa : Il va falloir faire une élection de délégué.

Tous le monde se met à se proposer.

Sauf moi, je n'ai pas trop envie de devenir un délégué. Je n'ai pas envie d'attirer l'attention sur moi.

Je dois continuer mon enquête discrètement.

Ne pas attirer l'attention sur moi est nécessaire pour le moment.

Je ne sais pas trop pour qui voter. Je finis par voter Iida, plus pour qu'il puisse faire chier Kacchan qui n'a jamais été trop regardant sur les règles.

Nous finissons notre cours et annonçons à notre prof qui est notre délégué.

Je sors de la classe avec les autres.

D'un coup, l'alarme sonne. Tous le monde commence à paniquer. Je me retrouve au sol. On me marche dessus.

Je ne suis pas une carpette, putain de merde, cela fait super mal.

J'arrive à me mettre en hauteur pour éviter que mon calvaire ne continue.

Je vois bien qu'il y a un long filon de gens qui fuient pour aller se mettre à l'abri.

Je remarque au loin que des gens qui ne devraient pas être là, sont là.

Je les reconnais se sont des journalistes.

Je tente de me rapprocher de la sortie mais depuis les murs en se tenant fermement au mur avec mon alter, ce n'est pas chose aisée.

-Iida : On ne peut pas utiliser son alter, il faut en plus fuir.

-Izuku : Ce ne sont que des journalistes, il ne faut pas paniquer. Il risque d'y avoir des blessés voir des morts.

Iida semble trouver que j'exagère.

-Izuku : Rappelle-toi, le nombre de mort qu'il y a au black Friday aux USA.

Iida comprend que les mouvements de foule peuvent écraser littéralement quelqu'un ou bien qu'il puisse se faire piétiner à mort.

Ni une ni deux, Tenya active son alter et fonce vers le fond du couloir.

Je ne sais pas comment il se trouve au-dessus de la porte de sortie.

-Iida : Ce ne sont que des journalistes qui sont rentré, gardez votre calme jusqu'à l'arrivée des profs.

Je ne suis pas sûr qu'il ait dit prof et non professeurs, je me trouvais un peu loin pour l'entendre et même si le bruit s'est arrêté, il y avait un peu des échos.

Je vois au loin, un type qui porte le nom de Tenshi sur son badge de journaliste. Ce n'est pas mon Tenshi.

Les profs arrivent et évacue les élèves.

La journée se finit bien.

La revanche de la natureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant