"Si l'amour était un fruit, je t'en aurais offert tout un arbre, s'il était de l'argent je t'en aurais offert tous mes comptes bancaires. Mais l'amour est un sentiment, je t'offre tout mon coeur."
Je le regardais interloquée.
« Tu en profites un petit peu trop, non ? »
Qu’est-ce que ça pouvait bien vouloir dire ?
« Ça te plait aussi ? Dis-je ...N’est-ce pas ? » Il y prenait du plaisir aussi de toute évidence, mais je n’avais aucune idée de ce qu’il voulait dire.
« Être au dessus, dit-il. Au sens propre et au figuré. »
J’arrêtais de bouger. « Très bien, dis-je. Tu voulais... tu voulais changer de position ? Ou quoi ? »
Soudainement, il m’attrapa les hanches et nous fit basculer tous les deux. Je criais un peu. Une fois qu’il était sur moi, il captura mes poignets et les tint au dessus de ma tête, un peu comme il avait fait quand nous nous étions embrassés la nuit précédente. Je me fondais en lui. Aussi sympa que ce fut de contrôler, ça, c’était bien meilleur.
« On y est, murmura-t-il entre deux baisers. C’est la Maddy que je connais.
- Je ne sais pas de quoi tu parles, hoquetais-je alors qu’il s’enfonçait profondément en moi et envoyait une décharge électrique de plaisir le long de ma colonne.
- Tu ne sais pas ? Sourit-il. La première fois que je t’ai vue, je t’ai prise pour le genre de fille qui veut un homme dans sa vie simplement pour la servir. » J’ai sûrement dû faire une grimace, car il se pencha et me rassura avec un rapide baiser. « Au lit je veux dire.
- Je... suppose ? » Réussissais-je à dire. Je n’allais certainement pas argumenter avec lui du moment qu’il me faisait sentir comme ça.
« Bien sûr que si, dit-il. J’ai vu comment tu réagis. Je le sens. Tu ne peux pas cacher la manière dont me répond ton corps, Maddy. »
Je gémissais, enveloppant mes jambes autour de lui fermement. Je ne me souciais même pas des absurdités qu’il débitait. Il se mariait si bien avec moi, comme si nos corps avaient été modelés ensemble.
« Dis mon nom, murmura-t-il, ses yeux rivés sur les miens. Ils étaient tellement sombres.
- Harry », dis-je.
Il secoua la tête. Avec tout son cabotinage, cependant, il commençait un peu à devenir à bout de souffle. « Pas celui-là, dit-il. Celui avec lequel tu m’appelais avant. Quand j’étais ton patron.
- Mr Styles, gémissais-je. Oh... Mr Styles... »
C’était étonnamment bon de l’appeler comme ça, après tout ce temps, toute cette intimité forcée. C’était encore de cette manière que je pensais à lui, quelques fois – quand je le regardais et me rappelais – c’était mon patron. C’était mon patron, bon Dieu, un homme qui avait été essentiellement un étranger pour moi jusqu’à ce que j’accepte de l’épouser. Un homme qui était un étranger, de bien des manières, même lorsqu’il était profondément en moi pendant notre lune de miel.
« Mr Styles », murmurais-je. Il souriait. Un frisson de plaisir me parcourut la poitrine.
« Tu y es presque ? » Entonna-t-il à quelques centimètres de mon oreille.
Je réalisais que oui. J’acquiesçais.
« Attends, dit-il. Pas tant que je ne te l’ai pas dit. »
Je le fixais. « Je ne peux pas... Je ne peux pas m’arrêter.
- Bien sûr que tu peux. Il fit une pause dans ses mouvements. C’est simple. Si tu y es presque, tu me dis d’arrêter et je m’arrête.
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J'ai épousé un millionnaire. H.S
RomantikHey ! Je sais que je change d'histoires comme je change de veste, et je n'ai jamais réussis a arrivé jusqu'à la fin, mais la je pense que c'est la bonne !Et le livre est ! *Roulement de tambours* :"J'ai épousé un millionnaire" De Melanie M...