Vendu - FINI -

Eri

J'ouvre les yeux avec difficulté, j'essaye de me lever mais un poids sur moi m'en empêche.

Une petite fille est allongée sur moi. On est dans une calèche et surement en chemin vers notre propriétaire.

La petite se réveilla petit à petit, je put apercevoir qu'elle avait des bandages aux bras. La pauvre, elle me fait penser un peu à moi elle doit être terrifiée.

J'essaye donc de me surélever, étant donné que je ne risque plus de la réveiller. Mais elle me recouche.

Ne bouge pas ! J'ai faits tes bandages, si tu bouges trop tu vas recommencer à saigner..

Oh c'est vrai que maintenant qu'elle le dit...

- Merci tu es vraiment gentille.

Elle me sourit, comment peut-elle être aussi joyeuse dans un moment comme celui-ci ?

Elle me redonne le sourire. Sa joie est contagieuse. 

Eri.

- Hein ?

Je m'appelle Eri et toi ?

- Oh et bien je m'appelle Izuk.. Deku appelle moi Deku.

Je lui souris alors du mieux que je peux. Et dire qu'elle est dans la même situation que moi...

Deku ! Tu est gentil aussi !

- Merci Eri. 

Je me demande bien où on va... De la calèche dans laquelle on est on peut entendre les gens en brouhaha signe que l'on passe sûrement dans la ville..

Eri a l'air curieuse, elle a vraiment l'air de vouloir voir le monde extérieur. Moi aussi à vrai dire je suis curieux je n'ai jamais vu ou même entendu une ville aussi bruyante. Enfin plus depuis mon enfance au moins et encore je crois que ce n'était pas aussi agiter...

Je prends alors la main de la petite et lui sourit.

Nous ouvrons d'une petite fente le rideau nous séparant du reste monde et la...

Whoua c'est incroyable le nombre de gens agglutinés au même endroit...

La ville est tout bonnement magnifique, d'une rivière parsemer de cerisier rose nous pouvons apercevoir un château au loin. Un magnifique endroit. Quand je vois ça j'ai un peu mal au coeur.. Je ne sais pas pourquoi mais cette ville, cet endroit j'ai l'impression de... Enfin je ne sais pas...

C'est dans c'est moment là que je comprends, que la liberté que je désire.. Je ne l'aurais jamais.

Je recule un peu et me remets coucher dans cette calèche. Il ne faudrait pas que j'inspire trop de bonheurs non plus.