Granger !

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Hermione se demandait quand Malefoy arrêterait de la protéger ainsi. Cela faisait trois semaines que cela durait, et même si Blaise restait assez distant, certains élèves se posaient des questions. Elle essayait sans cesse de les fuir, mais c'était comme essayer de tuer un serpents avec de l'insecticide. Draco et Blaise étaient sans cesse sur le dos de la lionne, à son plus grand désespoir. Elle aimait ses révisions dans la bibliothèque juste avant ses rondes, choses devenu impossible depuis que Malefoy avait décidé de prendre sa protection en main. Sans compter de Ronald et Harry se posaient pas mal de questions, eux aussi. La jeune femme ne savait plus quoi répondre. Que devait-elle dire ? Que le garçon qu'elle avait quitter deux jours plus tôt était violent avec elle ? Ils lui reprocheraient sans doute de ne rien leurs avoir dit. Hermione s'en voulait de leurs cacher un si grand secret, mais elle ne voyait pas comment leurs expliquer, ni comment elle en était arrivé là, ni comment Malefoy et Zabini avaient puent se retrouver mêler à cette histoire.

Tout en tournant en rond dans sa chambre, juste avant le début des cours, Hermione se demandait comment elle allait bien pouvoir échapper a ses deux nouveau protecteur. Elle avait déjà échafauder des dizaines de plans, tous tomber à l'eau.  Sachant que peut importe ce qu'elle dirait, ou ferait Draco et Blaise ne la laisserait pas en paix pour la journée, elle abandonna l'idée de les piéger pour être tranquille. Elle sortit sur le balcon, cigarette a la main, et s'assit sur la chaise qu'elle avait installer. Elle alluma la barre de nicotine, tout en regardant dans le vie, jusqu'au moment ou trois coup si firent entendre. Hermione ne sursauta pas, et cria a la personne qui avait frapper d'entrer.

-Allez Granger, on va être en retard sinon, râla Malefoy en ouvrant la porte.

-J'arrive c'est bon, rétorqua la lionne.

Sur ces mots, elle écrasa ce qu'il restait de sa cigarette, récupéra ses affaires, et descendit les escaliers, pour rejoindre la porte de sortit, ou devait déjà surement l'attendre Zabini. Sans attendre Draco, Hermione sortit de l'appartement. Contre tout attente, elle ne trouva personne devant le tableau. Étrange, Malefoy et Zabini ne lui laissaient jamais de repos. Elle rentra dans l'appartement, et trouva sur la table basse, un mot sur lequel était écrit : Ne nous attend pas, nous te surveillerons de loin, mais ne te met pas en danger inutilement. D.M.  Ravie, Hermione sortit de l'appartement d'un pas sur et joyeux. Elle se dirigeait fièrement, vers la Grande Salle, ou Ginny, sa meilleure amie l'attendait. Quelques élèves la regardait, stupéfait en la voyant de si bonne humeur. Il est vrai, que ces derniers temps, Hermione avait été plus de mauvaise que de bonne humeur. A vrai dire, les évènements précédent, ne lui avait pas permis d'être de vraiment de bonne humeur. Être constamment surveiller, et harceler par Flint, n'était pas vraiment ce qui lui avait permis une grande joie, bien au contraire. Enfin, elle était en paix pour la journée, et cela lui faisait le plus grand bien. Elle rejoignit Ginny, qui l'attendait déjà devant la porte de la Grande Salle. Hermione claqua joyeusement la bise a son amie, tout en lui faisant un compliment sur ses cheveux, "si bien coiffer" paraissait-il. Ginny rigolât, mais tellement ravie de la joie de la brunette, ne releva pas ce trop plein d'énergie positive. Les deux jeune femmes entrèrent, et rejoignirent Harry et Ron, qui étaient, pour une fois arrivés avant elles. Hermione s'assit a la gauche de Harry et en diagonale de Ron, tandis que Ginny, prenait place, en face de son amie. Les deux jeunes hommes, avaient eux aussi l'aire ravi de voir leurs Hermione de si bonne humeur. Les quatre amis déjeunèrent dans une bonne ambiance, riant et blaguant sans arrêt sur le fait que Seamus avait mis le feu au rideau du dortoir des dernières années. Ils se calmèrent cependant, lorsque Ginny leurs rappela que le trio d'or avait cours avec le professeur Rogue, qui malgré ce qu'ils avaient appris, restait le même type horripilant. Toujours dans une bonne ambiance, tous se levèrent, et se dirigeaient vers leurs salle de cours respectif.

Personne à part Harry, Ron et Hermione n'étaient devant la salle de Rogue, excepter peut-être Malefoy et Zabini, cacher derrière un mur, si bien que aucun ne les avaient vu, bien que Hermione se doutait qu'ils n'étaient pas bien loin. Lorsque Severus Rogue arrivât,  le trio était toujours seul, si bien, que Rogue leurs demanda d'entrer en jetant des coup d'œil inquiet dans le couloir. Il leurs fit signe de prendre place au premier rang.

-Il faut que je vous parle jeunes gens, commença le professeur, bien que vous n'en aillez pas parler, continua ce dernier, je tien a ce que vous sachiez que je vous interdit de parler de ce que vous avez vue dans la Pensine lors de la bataille qui a eu lieux ici, à Poudlard, termina-t-il.

-Ne vous en faites pas professeur, nous ne dirons rien à personne, vous avez notre parole, répondit la lionne.

-Vous savez, j'étais très amoureux de votre mère Mr Potter, et cela m'a détruit lorsque je l'ai trouver morte.

-Alors pourquoi me détestez vous autant professeur, questionna Harry.

-Je ne vous déteste pas, ni vous, ni vos amis, mais je ne voulais pas que les autres élèves vous croient privilégié, répondit le professeur.

Les trois amis hochèrent la tête, et sans avoir le temps de poser une autre question, les cours commencèrent, et tous les élèves entrèrent peu a peu dans la salle. Blaise et Draco se placèrent juste derrière Hermione, et Draco fit voler un mot jusqu'à sa table. Hermione l'ouvrit, et se retint de rire en lisant le bout de papier sur lequel était écrit ; "Je ne t'avais pas dit de ne pas te mettre en danger inutilement Granger ? Non mais sérieusement, il ne faut pas tenir a la vie pour entrer seul, avec Potty et Weaslaid, dans la salle de Rogue. D.M."  Ce n'était pas dangereux, mais lui ne pouvais pas le savoir. Seul le trio d'or connaissait le secret de ce professeur que tout le monde croyait sans cœur. Hermione prit un morceau de papier, sa plume, et rédigeât une brève réponse. Malefoy souriait en le lisant, il n'en revenait pas, il riait a un mot de Hermione Granger. Le reste du cours se passât  sans petit mots, ni aucun accros. Comme le reste de la journée d'ailleurs.  

Lorsque Hermione entra dans son appartement, elle se doutait que Malefoy, l'y attendait. Et elle fut même ravi de le voir en ouvrant la porte. Il était devenu un très bon ami, et cela plaisait a la lionne, ainsi qu'au serpent. 

-Granger ! Quel insulte tu m'as fait ce matin en cours de potion, je suis... OUTRER ! Me traiter de... De quoi déjà ? A oui, de "stupide créature qui ne sais pas de quoi il parle" rigola le blond peroxyder.

-Je t'en pris ça venait du cœur, Malefoy, le taquina-t-elle.

Ils passèrent la soirée a rire, et a faire leurs devoirs. Lorsque était venu l'heure d'aller se coucher, Draco eu envi pour la première fois de sa vie, de rester un plus longtemps en la compagnie de sa nouvelle amie.

-Allez bonne nuit Malefoy.

-Bonne nuit Hermione, heu Granger... Sa lui avait échapper, il n'avait pas pue se retenir, il la regardait, perplexe, tandis qu'elle lui adressa un sourire, et déclara,

-Tu peux m'appeler Hermione si tu veux.

-Ha heu... D'accord, alors bonne nuit Hermione. Il avait bien insister sur son prénom, cette fois-ci, et elle répondit en souriant;

-Bonne nuit, Draco. puis elle entra dans sa chambre, et il chuchota une fois sur que la porte soit fermer, un petit "Hermione".

Il entra dans sa chambre, identique a celle de la Gryffonore, à la différence, que la sienne était verte. Il se changeât, tout en pensant a Hermione, et juste avant que le sommeil ne le gagne, il se rendit compte, que ce n'était pas seulement parce qu'il avait imaginer la situation d'Hermione sur une personne qu'il appréciait. Non, c'était parce qu'il l'aimait. Oui, il l'aimait. Il se demandait comment il n'avait pas pu s'en apercevoir plus tôt. Son rythme cardiaque s'accélérait en en sa présence. Diable il l'aimait. Il aimait Hermione Granger, d'un amour qu'il ne conaissait pas. Juste avant de s'endormir, il murmura ;

-Granger... et il sombra dans les bras de Morphée.

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Et voilaaaaaaa, une amie me prête son pc pour quelque jour, j'essaierais de poster tout les jour. N'hésitez pas a voter et a commentez, sa fait toujours plaisir.

BISOUS MES PETITS POTTERHEAD 

A Contre Sens. T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant