A Contre Sens. T1

Complot.

Non loin de Poudlard, c'était de sombre desseins qui hantait jours et nuit le jeune homme qui faisait les cents pas dans sa petite cabane de bois. Il regardait sans cesse le journal qui avait été publier quelques jours après la grande bataille. Sur ce héro de guerre et ses amis. Visiblement, ce que les sorciers avaient retenu, c'était que Voldemort était le méchant de l'histoire. Lui, savait que non. Peut-être que si les autres sorciers avaient laisser le mage noir parler, ils auraient compris. Ou pas. Ho, il ne disait pas que tout était vrai dans son discours, seulement que les gentils ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Et lui n'avait jamais cru en l'honnêteté de Potter et ses amis. Et il avait jurer de le prouver au monde entier. Il avait jurer vengeance.

Toujours en faisait les cents pas, le jeune homme de la cabane attendait l'un de ses amis proches. Enfin, plutôt l'un de ses espions. Il perdait patience d'ailleurs. Jusqu'à ce qu'il entende le verrou de la porte remuer un peu. Il sortit sa baguette au cas où, et la pointa vers la porte. Lorsque son acolyte entra, il baissa sa baguette, mais la tenait toujours fermement.
- Tu es en retard, siffla le jeune homme.
- Je sais. Mais j'ai un peu de mal à trouver cet fichu cabane. Tu t'es trop bien cacher mon ami.
- Je ne suis pas ton ami !
Son regard était si noir que même un épouvantare aurait eu peur.
- Qu'as-tu trouver ? Tu sais quelques chose qui peut m'intéresser ? Demanda celui qui semblait prendre les décisions.
- L'espèce de rat de bibliothèque et le blondinet prétentieux ont l'air de vouloir se rapprocher. Mais à part ça, pas grand chose.
- Hmmm, bien, ce n'est pas suffisant mais c'est déjà ça.
Il se grattait le menton, signe qui réfléchissait. Cela dit, lorsque le garçon de la cabane se mettait à réfléchir, cela n'était jamais bons.

Quelques années après la mort des parents de Potter, un jeune homme roux, au yeux noir était parti à la recherche de Celui Dont On Ne Doit Pas  Prononcer Le Nom, il avait fait le tour du monde. Puis une rumeur s'était rependu. Une  rumeur qui racontait que Lord  Voldemort s'était cacher dernier le crâne d'un des professeur de Poudlard, pour anéantir le jeune Potter. Le professeur en question étant mort, personne n'avait pu confirmer cette rumeur, mais le garçon de la cabane savait qu'il y avait du vrai la dedans. C'est durant les vacances qui avait suivi cette année, la premier de Potter et compagnie qu'il avait eu une idée.
Durant le mois de juillet 1992, Le Garcon de La Cabane s'était rendu chez les Malefoys. Il avait eu une idée.  Et c'était armée d'un vieux carnet qu'il s'était présenter à Lucius Malefoy. L'autre avait bien rit, enfin pas très longtemps.
- De quel enchantement vous êtes vous servi ? avait demander le chef Malefoy.
- Aucun, Le Lord a du l'ensorcelé lui-même avant sa mort. Cela fait des années que je le conserve. Il est dans l'état exact dans le quel je l'ai trouver. Vous savez en quoi il peut nous aider.
Lucius avait eu l'air sceptique, mais il se doutait que si Le Garçon De La Cabane avait possession de cet antithé, ce n'était pas sans raison. Sûrement leurs maître le lui avait-il confier avant de mourir. Ho, aucun des deux n'aurais pu jurer de ses pouvoirs, mais ils savaient qu'il serait très utile.
- Je m'en doute, avait dit Lucius en lui tournant le dos. Mais qui me dit, que ce journal n'est pas fait pour tuer ?
- Je vous en pris Malefoy, cessez votre paranoïa insultante ! Je ne vous veux aucun mal, je ne veux que son mal a lui. Ce fichu Potter.

Après près d'une heure de négociation, Lucius avait décidé de le prendre et de suivre les instructions à la lettre. C'est ainsi que le journal de Jedusor s'était retrouver dans le chaudron de Ginny ainsi que ses autres livres.

Revenant à ses préoccupations principales, La Garçon De La Cabane pris place en face de son acolyte.
- Écoute bien ce que je vais te dire Flint. Tu ne dois pas la laisser filer. Garde mon apparence, je suis dans l'ombre depuis toujours, personne ne me connait.
- Ça va, je sais ce que je fais. Je l'ai manipuler une fois, une seconde ne devrait pas être si compliquer que ça.
- Évidement, mais en lui tapant dessus et en te faisant renvoyer, tu as fait une grave erreur, alors ne recommence pas, ne me déçois pas, siffla le garçon.

Flint hocha la tête, et sortit de la cabane en soufflant. Il était assez grand pour savoir ce qu'il faisait  par Merlin ! Pas besoin de ce stupide Laquais aux ordres d'un Lord mort depuis près d'un an. C'était épuisant, être à la merci d'un être au QI égale à celui d'un Troll n'était pas la tâche la plus reposante qu'il existait. Surtout quand le Troll en question ce prend pour le nouveau Voldemort. Flint avait vécu bien de terrible chose avec lui, mais ce Troll était encore pire. Il ne voulait tout de même pas le décevoir, il savait de quoi Le Garçon De La Cabane était capable, et il ne voulait surtout pas ce confronter à lui.

  Doucement, Flint retournait sur ses pas et regagnait le château de Poudlard. Il admirait les arbres autour de lui, tout en se persuadant qu'il ne faisait rien de mal. Et que Voldemort avait toujours eu raison. Que Harry et compagnie n'étaient que des hypocrites superficiels qui donnaient le change. Il n'était pas vraiment convaincu, mais il savait qu'il n'avait pas d'autre  choix que de s'efforcer d'y croire. Alors il reprit sa litanie d'affirmation visant à le persuader qu'il était quelqu'un de bien. Et très vite, il avait atteint l'immense portails du château. Il entra rapidement, et se dépêcha de retourner à son dortoir. Il était encore très tôt, et les réveils ne sonneraient que d'ici deux heures, mais il devait dormir un minimum. En approchant des grandes portes, Flint entendit un bruit, il se retourna, et observa l'horizon sans rien voir.  Il regagna son dortoir l'esprit tranquille.

  Pourtant, Flint aurait dû être plus attentif, Hermione et Harry l'avait vue.
  - Ça sens mauvais Hermione, je suis sur que cet élève n'est pas sortit admirer le paysage, murmura Harry.
  - Je sais, mais nous n'avons aucune preuve. Allons au dortoir, je vais récupérer mon Retourneur de Temps.
  - Je croyais que tu ne l'avais plus.
  - Je sais. Mais j'en avait besoin. Allez, dépêchons nous, je ne voudrait pas avoir de problème avec Rusard !