Attack On Titan - 1 147 Plus Tard, En L'An 2050

Chapitre 18

Erwin essayait par tous les moyens de calmer Livaï qui était dans un état incontrôlable simplement parce que son idiot d'amant n'a pas répondu à ses appels et encore moins à ses messages. Les amis d'Eren n'osaient rien faire sous ordre d'Erwin, ne souhaitant pas les mettre en danger parce que Livaï pouvait se montrer violent s'il le voulait. Erwin refusait d'impliquer les amis et son « amant » dans cette histoire. Le portable de Livaï se mit à sonner qu'il décroche en voyant que s'était Eren.

— Eren, putain, t'es où ?!

– J'arrive, je sors juste de chez Bertolt et de Reiner, je t'expliquerais plus-tard, t'es avec les autres je pari !

— Toujours, bordel, tu aurais put me prévenir !

– Le fait que je ne t'ai pas répondu à avoir avec l'explication que je te dirais. Ne me dis pas que tu viens de paniquer, Livaï, je te connais trop par cœur !

— Bas si mais tu as du t'en foutre !

– Livaï, ne déforme pas ce que je dis et ce que tu penses s'il te plaît. Prépare les affaires, on rentre chez toi !

— Ok ! J'arrive !

Livaï raccroche que le PDG, Erwin eut un rictus.

— Quoi ?

— Même pas une excuse ! Sympa, tu t'es montré quand même violent en paniquant parce qu'Eren n'est pas rentré. Tu l'avais déjà fait par le passé et j'ai été forcé de t'isoler en cellule Livaï.

Livaï soupire, il se calme que Erwin soupire lui aussi un peu de soulagement, Eren rentra à ce moment-là que tout le monde était soulagé.

— Jean, je ne serais pas là de la journée avec Livaï, tu sauras te débrouiller ?

— Oui, je pense que vous devriez dormir, vu vos têtes et la colère en vous...

— Je ne suis pas en colère !

— Livaï a paniqué réplique Erwin, grognant son mécontentement.

— Va préparer les affaires, aller !

Livaï souffle faiblement qu'il monte chercher leur affaire. Il récupère le chargeur d'Eren avant de prendre son sac de voyage. Il descendit que le brun salua tout le monde et dit à Mikasa.

— Je rentrerais demain soir à la maison, je préviendrais par message en cas de besoin !

— D'accord Eren !

Eren sortit avec Livaï à sa suite qu'en chemin, Eren soupira.

— Tu avais besoin de paniquer. Tu sais très bien que tu n'as pas de raison de l'être. J'étais avec Reiner, je t'aurais appelé une fois que j'avais fini d'examiner Bertolt.

— J'ai eu peur Eren, tu comprends ça !

— C'est pour ça que l'on va prendre notre journée aujourd'hui, que tous les deux chez toi. Je retourne se tantôt retrouver Bertolt et Reiner pour leur donner des médicaments qu'Hansi me donnera. D'ailleurs, il faut que je l'appelle pour qu'elle me les prépare.

— Est-ce sérieux ?! Est-ce grave ?

— Niveau urgence ?

— Oui !

— C'est dans le rouge, les plus urgents.

— Autant que ça !

— Une fois chez toi, je t'expliquerais ! Laisse moi appeler Hansi en attendant !

— Fais, mais suis moi, c'est par-là !

Le brun sourit, le noiraud prit la main de son amant pour le guider alors qu'il appelait Hansi comme il l'avait demandé.