Chapitre 11

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Le lendemain, Eren se réveilla plus tard qu'il regarda partout et reconnut la chambre de Livaï. Il regarda où était ce dernier, il dormait avec sa tête sur son torse... Il regarda surtout l'heure qu'il fut surprit.

— Oh mon dieu, Eden...

Il n'avait plus jamais aussi bien dormi. Il était plus de neuf heures trente. Il sentit un mouvement qu'il croise des yeux de couleur diamant, il se frotta un œil de sa main qu'il glissa sa tête pour la poser sur son épaule.

— Bonjour, bien dormi !

— Bonjour, oui et toi !

— J'ai pu me reposer comme il faut.

— Je ne me suis plus endormi aussi longtemps qu'avant. Avec tous les cauchemars d'Eden.

— Tu étais à bout toi aussi Eren !

Eren soupira que Livaï posa son coude sur le matelas et posa sa tête sur sa main qu'il regarda Eren.

— Il y a aussi une chose que je cache derrière mon envie de boire autant.

— Que veux-tu dire ?

— Il est vrai que j'avais bu parce que c'était le jour de la mort des membres de mon escouade mais il y avait aussi le fait de tuer mes sentiments.

— Tes sentiments ?

— J'étais amoureux d'une personne qui n'avait et ne partageait pas les mêmes sentiments que moi j'en avais pour lui. Je me suis plongé dans l'alcool pour faire disparaître ses sentiments, oublier la personne.

— Livaï...

— Je sais que je suis égoïste, con et que je mérite ta colère Eren. Mais ne pars plus je t'en prie.

— Pourquoi voudrais-tu que je reviennes après ce que tu m'as fait ?

— Je sais, je mérite ta colère, ta fureur...

— Maman ! Papa !

Une personne venait de toquer à la porte qu'il entra...

— Je dérange...

— Non, on discute entre adultes.

— Que veux-tu Rivaille ?

— J'ai faim !

— Va au QG, demande à Armin ou à Mikasa, ils sauront où est le repas du petit déjeuner. Je n'ai plus rien. J'ai complètement oublié. En même temps, je mange souvent au QG.

— Tu as toujours l'argent de ton oncle sur toi.

— Oui !

— Tu t'achètes des croissants ou des pains au chocolat si tu veux. On doit discuter.

— D'accord, à tout à l'heure.

— A tout à l'heure mon ange !

— A tout à l'heure Rivaille.

Rivaille sortit et partit chez lui se changer, se laver pour aller s'acheter son petit déjeuner.

— C'est un estomac sur patte. Pire que moi.

— Cela ne m'étonne pas non plus.

— Bon où l'on était avant d'être interrompu par Rivaille.

— Au fait que je ne veux plus que tu partes. Tu m'as posé la question « Pourquoi voudrais-tu que je reviennes après ce que tu m'as fait ? » Je sais que je t'ai fais du mal, je le mérite ta colère mais je ne veux pas que tu repartes à nouveau.

Attack On Titan - Deux Frères, Un MeurtrierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant