Attack On Titan - Deux Frères, Un Meurtrier

Chapitre 17

Le soir, Livaï alla voir Eren, il avait réussi à faire disparaître ses ailes. Eren le vit et sourit faiblement.

— On rentre à la maison, tu vas manger au lit.

— Livaï ne te force pas...

Livaï prit doucement Eren dans ses bras qu'ils descendent dans la salle principale. Ils le voient tous.

— Eren, ça va ?

— Fatigué... Je suis désolé de vous faire une frayeur pareille.

— Sois prudent, les chutes de tension sont fréquentes après. Quand tu en fais une ? Tu as à vie des baisses de tensions.

— Je sais !

Livaï rentra avec leurs enfants qu'il posa Eren dans leur lit.

— Repose-toi un peu avant que je t'apporte ton repas.

— Livaï, je peux marcher...

— Non, tu sors à peine de ta perte de connaissance.

Le caporal alla faire à manger qu'il prépara un plateau pendant que les enfants étaient dans leur chambre et s'amusaient ensemble. Le compagnon d'Eren arriva avec un plateau et le posa à côté du patient, assis sur le lit.

— Merci mon cœur mais tu n'étais pas obligé.

— Manges et tu vas dormir.

Livaï partit qu'il informa les garçons que le dîner était prêt. Ils mangeaient ensemble mais leur père les gronda de se calmer et de manger. Une fois fait, Livaï alla chercher le plateau où il faisait la vaisselle. Ils se lavèrent. Eren mit son pyjama et s'allongea dans leur lit. Une fois fini de se laver, Livaï salua ses deux garçons qui eurent son baiser sur le front. Il rejoint Eren qui était allongé.

— Repose-toi Eren, profite-en, nous n'aurons plus de titans à tuer d'ici les prochains jours avant notre semaine de vacances.

Eren ne dit rien que Livaï caressa son visage que son brun le regarda avec ses yeux émeraudes.

— Bonne nuit mon titan !

— Bonne nuit mon Caporal !

Livaï déposa un baiser sur son front en signe de protection et un sur ses lèvres pour l'embrasser langoureusement avant de s'endormir profondément dans les bras de Morphée. La semaine passait vite, Eren prenait ses pilules comme l'a demandé Hansi et ordonné Livaï. Ils étaient sur le chemin sur leurs chevaux au grand galop. Livaï, Eren, Rivaille et Eden se dirigeaient vers Shiganshina de nuit qu'Eren demanda en s'arrêtant un moment.

— Eden !

— Oui maman !

— Il y a plusieurs choses que je souhaiterais te parler, une fois à la maison.

— D'accord maman !

— En route, nous ne sommes pas très loin de Shiganshina.

— J'ai hâte de rentrer à la maison.

— Rentrons à la maison comme tu dis !

Eren regarda Livaï qui sourit, il donna deux coups de talons que le cheval d'Eren partit au galop suivit des autres. Une fois devant la porte en muraille, elle se leva pour qu'ils rentrent. Eren les guida jusqu'à la maison en faisant marcher les chevaux. Mais le cheval d'Eren était nerveux, il refusait d'avancer.

— Avance, tu ne crains rien !

— Maman, il les a sentit.

— J'en ai bien peur, Rivaille. Faisant le détour.