𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗
@nbksag
Partie deux, chapitres douze.
𝐌𝐚 𝐯𝐢𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐯𝐞́𝐞 𝐧𝐞 𝐭𝐞 𝐫𝐞𝐠𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬.☇
𝐌𝐀𝐄̈𝐋𝐋𝐄 𝐏𝐎𝐕𝐋𝐈𝐂𝐇𝐀 𝐏𝐄𝐑𝐃𝐈𝐑𝐎
𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞, 𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬, 𝐌𝐚𝐢 𝟐𝟎𝟐𝟎Valentina - Bordel. Elle me fonce presque dessus quand j'arrive dans l'appartement. Tu as vu l'heure ?!
- Tu devrais déjà être couchée. Je prend le même ton que elle, je laisse mes baskets dans l'entrée.
Valentina - Tu étais où ? Vous avez tous disparu en même temps bordel. Je me dirige vers l'une des fenêtres que j'ouvre. Heureusement que les garçons étaient là pour me raccompagner.
- C'est pas le moment 'Tina. J'allume la cigarette que Tarik m'a passé tout à l'heure et qui a miraculeusement survécus dans la poche de ma veste.
Valentina - Si, parce que je me suis inquiétée. Il s'est passé quelque chose avec Nabil ? Tarik est venu rechercher son fils mais il a rien voulu nous dire. Je souffle doucement et je la regarde.
- Je t'ai dit que c'était clairement pas le moment.
Valentina - Si, tu rentres à trois heures du matin alors que tu t'es tailler sans rien dire à vingt deux heures !
- Ferme là putain. Je sens doucement mes nerfs lâcher, peut-être sur la mauvaise personne. Je vais avoir trente et un an Valentina, je fais ce que je veux, quand je veux et avec qui je veux ! Je suis désolée d'avoir prévenu personne mais tu vois, il y avait beaucoup plus urgent que de t'envoyer un message, merde. Elle recule doucement et je me remets à la fenêtre en tirant fortement sur ma cigarette, je passe une main sur mon visage, mes yeux menaces de lâcher de nouvelles larmes.
Valentina - Pardon.
- Non c'est moi. Je souffle doucement, la voix tremblante, prête à pleurer une nouvelle fois, me demandant presque comment mon corps peu contenir autant d'eau. J'aurais pas dû passer mes nerfs sur toi, tu as rien fait.
Valentina - J'ai un peu abusée avec mes questions aussi. Je recrache ma fumée, je sens les bras de Valentina se mettre autour de mon ventre et sa tête sur mon épaule. Rien de grave ? Si seulement.
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COMME PAS DEUX
Fanfiction- 𝔫.𝔬.𝔰, Maëlle et Nabil « 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐣'𝐦'𝐞𝐧 𝐬𝐨𝐫𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 ? » 𝐏𝐥𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐛𝐫𝐢𝐥𝐥𝐞, 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐥'𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐬'𝐚𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐭, 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐨𝐧 𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞, 𝐢𝐥 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐚 𝐥𝐮�...