𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗
@nbksag
Partie deux, chapitre quinze
« 𝐓𝐮 𝐯𝐢𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐦𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞́𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐮𝐧 𝐩𝐮𝐭𝐚𝐢𝐧 𝐝'𝐜𝐚𝐧𝐜𝐞𝐫. »☇
𝐌𝐀𝐄̈𝐋𝐋𝐄 𝐏𝐎𝐕𝐋𝐈𝐂𝐇𝐀 𝐏𝐄𝐑𝐃𝐈𝐑𝐎
𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞, 𝐂𝐨𝐫𝐬𝐞, 𝐉𝐮𝐢𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟎Je bouge un peu et je fronce les sourcils en sentant quelque chose qui caresse ma joue, j'ouvre difficilement les yeux et je tombe directement sur les petits pieds nues de ma filleule, je fais un petit sourire et je relève les yeux pour voir Léna assise sur le bord de mon lit, Giulia assise juste devant elle. Je me redresse doucement dans le lit et je frotte mes yeux, Giulia me regarde en souriant derrière sa tétine.
- Ça va mon chaton ? Je la prend doucement dans mes bras et je fais un bisou sur sa joue, elle gazouille en même temps. Il est tard ?
Léna - Un peu plus de dix heures. Elle me sourit. Tu étais la seule pas encore levé alors je suis venue voir si ça allait.
- J'ai pas entendu mon réveil, je voulais me lever un peu plus tôt quand même. Giulia se mets à jouer avec les boucles de mes cheveux.
Léna - Tu as juste un petit quart d'heure de retard sur tout le monde, tu as rien rater. Juste peut-être le petit déjeuner. Je regarde ma filleule et j'embrasse à nouveau sa joue. Les garçons sont déjà dans la piscine à faire les fous avec Talya, je crois que René va perdre ses cheveux. Je pouffe de rire avant de sourire.
- Je vais me lever alors, j'ai pas envie de rater ça. Léna ricane et récupère Giulia dans ses bras, la petite brune ronchonne en me regardant. Attend ma puce, marraine arrive.
Léna - On va juste l'attendre dans le couloir. Elle embrasse la joue de sa fille et file dans le couloir.
Je me lève du lit, je vais enfiler mon maillot de bains deux pièces noir. Je mets un short en jeans et un simple débardeur par dessus, je glisse mes pieds dans des claquettes à la marque de mon ancien boulot et je sors de la chambre, une fois la fenêtre grande ouverte et les draps bien remis dans mon lit.
Léna - Regarde, marraine a pas mis longtemps. Elle pouffe de rire en voyant sa fille tendre ses bras vers moi.
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COMME PAS DEUX
Fanfiction- 𝔫.𝔬.𝔰, Maëlle et Nabil « 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐣'𝐦'𝐞𝐧 𝐬𝐨𝐫𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 ? » 𝐏𝐥𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐛𝐫𝐢𝐥𝐥𝐞, 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐥'𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐬'𝐚𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐭, 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐨𝐧 𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞, 𝐢𝐥 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐚 𝐥𝐮�...