𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗
"Tends pas ta main, on te tord ton âme"
↬ MAËLLE POVLICHA
Je joue avec la chaîne que j'ai autour du cou, je l'ai depuis gamine, c'est un petit « M » en or, c'est mon père qui me l'a offert le jour de mes six ans, je souris en repensant à ce moment que je me souviens très bien.
Je sens deux petits bras s'enrouler autour de mon ventre, je baisse le regard et je reconnais directement que c'est Maïsa, je me tourne vers elle et on se prend longuement dans les bras.
- T'es enfin de retour. Je la regarde, elle a putain de bronzée. Par contre ton bronzage, t'es encore plus une bombe là. Je la regarde un peu plus. Depuis quand tu viens travailler en survêtement et pas maquillée ?
Son sourire veux tout dire.
Maïsa - J'ai pas eu le temps de passer me changer, on s'est fait réveiller par Nabil qui voulait rentrer dans le stud. Elle rigole, ses yeux brillent.
- Je suis contente de te voir comme ça. Je souris et je récupère mon café.
Maïsa - Ce soir les gars font soirée, tu viens j'espère.
- Oui pourquoi pas. Elle se fait un café aussi.
Maïsa - Toute façon Nabil a dit que si tu venais pas il allait venir te chercher de force. Je la vois me regarder avec un sourire de coin, je lève les yeux au ciel. Je suis ta meilleure amie et tu m'dis rien wesh, depuis combien de temps ?
- Mais il se passe rien Maïsa, je te l'ai déjà dit, on est juste amis.
Maïsa - Mh, Tarik m'a dit que vous étiez h24 ensemble ces derniers jours. Je bois mon café.
- Comme je l'étais avec le reste des garçons.
Maïsa - Et au studio ? Mais comment elle sait tout ça ?
- Il m'a proposé, je vais pas dire non puis j'avais rien à faire. On marche pour sortir de la pièce.
Maïsa - Y'a jamais eu de bisou ?
- Quand je te dis rien, c'est rien. Elle a l'air dégoûter.
Maïsa - Pourtant j'aurais grave penser que tu aurais succombé à son charme. Le téléphone sonne et me sauve surtout des questions de ma meilleure amie.
- J'ai du boulot Maïsa. Je décroche.
Appel téléphonique :
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COMME PAS DEUX
Fanfiction- 𝔫.𝔬.𝔰, Maëlle et Nabil « 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐣'𝐦'𝐞𝐧 𝐬𝐨𝐫𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 ? » 𝐏𝐥𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐛𝐫𝐢𝐥𝐥𝐞, 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐥'𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐬'𝐚𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐭, 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐨𝐧 𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞, 𝐢𝐥 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐚 𝐥𝐮�...