𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗
↬ MAËLLE POVLICHAJe bouge un peu en sentant Nabil se décoller un peu de moi, je me remets un peu contre lui dans le but de me rendormir, il caresse mes cheveux et j'ouvre doucement les yeux, il est sur son téléphone, quand je vois qu'il parle à une certaines « Kenza » je fais genre de bouger dans mon sommeil et je me tourne sur le côté en me décollant de lui.
Je suis pas jalouse, il a le droit de parler à qui il veut puisque nous ne sommes pas ensemble mais ça me saoule un peu je l'avoue, depuis quelques semaines un certains jeu c'est installé entre nous deux, a aucun moment je l'ai vu parler ou voir une autre fille, on étaient presque h24 ensembles, je sais pas si tout ça s'est du vent pour lui, ça se trouve il me considère comme une petite sœur ?
Ouais enfin une petite sœur avec qui il a un jeu de séduction et qu'il embrasse... je sais pas trop comment réfléchir, c'est peut-être une amie ? Pas forcément un plan cul ou je sais pas, urgh pourquoi je me retourne l'esprit comme ça ? Je me lève du lit et je fonce jusqu'à la salle de bain en fermant la porte à clé, je récupère mon téléphone que j'ai laissé hier soir entre les deux vasques, il a plus de batterie.
Je me déshabille et je saute dans la douche, j'en ai vraiment besoin, j'ai besoin de bien me réveiller et surtout remettre mes esprits en place, est-ce que je suis jalouse ? Attendez je suis vraiment en train de me parler à moi même en étant complément nue ? Ça tourne pas rond dans ma tête et ça depuis que j'ai rencontré certaines têtes.
Je grimace un peu en me lavant le corps, mes côtes sont un peu plus douloureuse aujourd'hui, sûrement parce qu'hier Nabil n'a pas été tendre avec moi : il m'a jeté dans le lit avant de me faire de guilis.
Je sors de la douche et m'enroule dans une serviette, je sèche mes cheveux avec la deuxième serviette avant de la tendre pour qu'elle sèche, je m'occupe de me sécher et de m'habiller avant de commencer les choses sérieuses.
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COMME PAS DEUX
Fanfiction- 𝔫.𝔬.𝔰, Maëlle et Nabil « 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐣'𝐦'𝐞𝐧 𝐬𝐨𝐫𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 ? » 𝐏𝐥𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐛𝐫𝐢𝐥𝐥𝐞, 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐥'𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐬'𝐚𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐭, 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐨𝐧 𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞, 𝐢𝐥 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐬𝐚 𝐥𝐮�...