[QUARANTE-TROIS]

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

"Toi et moi, c'est pas le dernier épisode

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"Toi et moi, c'est pas le dernier épisode."

NABIL ANDRIEU

J'me sens soulagé d'savoir que Maëlle est enfin sorti de l'hôpital, j'vais enfin pouvoir garder un œil sur elle tout le temps puisque je ne pouvais pas rester très longtemps à l'hôpital, j'avoue qu'ça m'a saoulé de ouf, rien que j'me suis embrouillé avec la moitié du personnel hospitalier parce que j'dépassais toujours les heures de visites.

Situation qui a bien fait rire Maëlle d'ailleurs, dans un sens j'suis content mais j'pense pas qu'elle aurait été contente que j'termine ma soirée en garde à vue, quoique, elle aurait trouvé l'excuse du « karma ».

Elle a actuellement ses jambes posées sur les miennes et j'caresse sa cheville en attendant qu'les gars s'ramène avec la bouffe, quand on est rentré, elle a presque directement piqué un méchant dodo dans l'canap en s'installant à moitié sur oim.

Maëlle - Tu peux m'aider à m'asseoir s'il te plaît ? J'la regarde et je me lève, je l'aide à s'asseoir, j'la vois grimacer en fermant les yeux. Merci.

- T'veux pas t'mettre un peu plus à l'aise que ça ? Elle hoche la tête et je l'aide à se lever du canapé. Ça va ?

Maëlle - Oui t'inquiète pas. J'embrasse son front et j'la vois esquisser un petit sourire.

On marche jusqu'à ma chambre et elle ferme simplement la porte derrière nous, elle s'assoit sur mon lit et j'cherche quelque chose d'plus confortable pour elle que son jeans et maillot, j'attrape un d'mes fuseau et pull à capuche.

Maëlle - Je suis sûre que ça va mieux aller sur moi, que sur toi. J'pouffe de rire.

- Si j't'écoute vraiment, toutes mes affaires t'vont mieux qu'à moi. Elle hoche la tête en souriant.

Maëlle - Parce que c'est vrai mon petit Nabil, je suis déjà une bombe avec tes lunettes alors avec tes vêtements, je vais clairement te voler la vedette. J'secoue la tête et elle retire la ceinture de son jeans et le bouton. Tu pourras... m'aider ? Enfin à l'hôpital c'était les infirmières qui était là pour ça aussi car j'ai du mal à lever les bras ou m'abaisser.

- Ouais t'inquiète ou j'demande à Maïsa ou Léna hein. J'la regarde.

La situation est grave chelou parce que j'l'ai déjà vu a oilp mais avec c'qui s'est passé ces derniers jours, j'sais pas, on s'retrouve un peu gêné tout les deux, elle m'fait un petit sourire.

COMME PAS DEUX Où les histoires vivent. Découvrez maintenant