Je ne savais pas quoi dire, j'étais sur-choquée 😳, je suis allée arracher son crayon.
Moi: Tu ne vois pas que ça peut même te faire mal ? Tu vas me tuer, est-ce qu'on parle comme ça à sa mère ?
Kimberly: Voilà ta fille là-bas, moi tu n'es pas ma mère.
C'est un enfant de deux ans qui me parle comme ça ? Et en plus un enfant que j'ai poussé moi-même et que j'ai porté neuf mois dans mon ventre. Sa sur était pourtant très calme, parfois trop calme même on aurait dit un enfant traumatisée.
Le même soir, Fabrice est rentré et il n'était pas seul ; il était avec une très belle fille, bien brune, elle s'est assise sans même me saluer, elle était exactement le genre de femme que j'étais avant de faner autant. Elle avait le tient traité, tout était parfait sur elle.
Moi: Bonjour madame. Je vous sers quelque chose à boire ?
Fabrice: Qui t'a appelée ici ? Dégages de là !
J'avais tellement peur de lui que je suis quittée de là à la vitesse de l'éclair.
Fabrice: Reviens ici très vite. Demandes lui ce qu'elle veut et va le lui acheter immédiatement.
La fille: Mais chéri c'est qui cette fille ? C'est la mère des jumelles ?
Fabrice: Oui, c'est ce que moi j'ai déposé ici dans ma maison. Cest même pour les enfants qu'elle est encore là je t'assure.
J'étais abasourdie, j'ai supporté mais je ne pouvais pas accepter dêtre rabaissée jusqu'au rang de moins zéro.
Moi: Fabrice, avec tout le respect que je te dois et que je te porte, je ne vais pas bouger.
Fabrice: Tu as osé ouvrir ta bouche pour me répondre à moi ? Si dans la seconde qui suit la fin de mon propos tu ne te bouges pas d'ici je vais repasser ton visage.
Moi: Fabrice tu te rends compte de ce que tu fais ? Fabrice tu sais comment tu m'as trouvé ? Tu sais comment je suis belle, plus que la chose qui est déposée sur le canapé ci. Fabrice pourquoi tu ne me respectes pas ? Fabrice...
J'ai même fini de parler ? La fille là m'a d'abord giflée un tour puis 2 puis 3. Elle s'est mise à me claquer en série. Vu que je savais quaprès ça Fabrice allait seulement me tuer, j'ai d'abord récupéré la fille là par les cheveux, je l'ai trainée au sol. Pendant ce temps Fabrice a enlevé sa ceinture et s'est mis à me frapper mais le jour là j'avais promis de ne pas me laisser faire, j'ai planté mes dents sur le front de la fille puis sur son bras. Les deux étaient sur moi mais moi j'étais seulement sur la fille. Je l'ai frappée, j'ai arraché certaines tresses de sa tête. À un moment Fabrice m'a propulsée au mur et la fille là est sortie très vite mais dès que Fabrice est venu j'ai même failli faire mon testament. Il ma tellement frappée que je ne sentais plus mon corps 😭.
Kinsley pleurait de toutes ses forces pendant que Kimberly était silencieuse en observant la scène. À un moment Kinsley est venue...
Kinsley: Papa 😭 koukoi ti tape mama ? Papa pardon.
Il a regardé sa fille. Cétait uniquement lorsque Fabrice regardait ses enfants que je voyais l'amour et la tranquillité dans ses yeux, j'étais choquée. Il a déposé sa ceinture.
Fabrice: Dépêche-toi de me ranger ce salon immédiatement et après tu vas acheter des médicaments pour calmer ta douleur.
Je n'avais pas le choix et en sortant, j'ai couru chez Angélique.
Moi: Angélique, Fabrice va finir par me tuer et il y a aussi Kimy.
Angélique: Kimy ta fille ?
Moi: Oui elle J'ai l'impression que c'est une sorcière et à chaque fois elle me fait penser au marabout là, tu te souviens ?
Angélique: Oui oui. Clara ma chérie, ce que je peux te dire c'est que il y a quelqu'un qui veut te faire sortir de la souffrance que tu vis comme il l'a fait avec moi.
Moi: Angélique tu vas encore me déranger avec ton évangile là ?
Angélique: Ne fais pas la sourde face à la seule personne qui peut t'aider, c'est tout ce que j'ai à te dire. Je ne vais pas non plus t'y forcer.
Je me demandais pourquoi je faisais ça ? 🤔😥
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Le poids de mes erreurs
SpiritualDécouvrez dans cet ouvrage l'histoire d'une jeune demoiselle du nom de Clara Mendes qui, dans son aisance, a décidé de s'offrir aux plaisirs du monde. Un moment donné de sa vie, elle fera face à une tragédie et verra sa vie être chamboulée. Mais à...