Un amour défendu

Le réveil

Pdv Tae :

Je me réveil seul, normal Jungkook est encore au bloc. Je ressens une gêne à la gorge mais franchement je la sens presque pas. J'attends et vois un Kookie endormie arrivé dans son lit en salle de réveil. Je le regarde et au bout de 5 minutes, il ouvre doucement ses yeux. Il est mignon et semble perdu au début mais reconnais les lieux.

Je lui prends la main en souriant ce qui lui fait tourner la tête dans ma direction. Il me sourit avant de montrer de façon brusque une douleur.

Il lache ma main pour se prendre le ventre, j'appelle Eon-Jae et elle vient presque en courant.

Eon-Jae : Jungkook, entre 1 et 10 ?

Jk : Aaaaaaaah !

Il pleure et il hurle, cette scène me brise le cœur. Je lui prends le bras pour pouvoir le rassurer, lui dire que je suis là. Eon-Jae réapparait avec une seringue de morphine, elle l'enfonce dans la peau de Jungkook et c'est comme s'il ne sent rendait même pas compte. Avec le temps, il se calme et il relâche son ventre.

Pdv Jk :

Je me réveil, il me faut quelques instants pour reconnaître la salle de réveil. Je sens la peau de Tae sur la mienne et je tourne la tête dans sa direction. Il est beau, il est tellement beau, il est vraiment magnifique, tellement...

AAAAAH ! Mon ventre ! Mon ventre ! AU SECOURS !!!! J'AI MAAAAAAL !!!! Eon-Jae arrive et me demande combien sur 10, je réponds un hurlement de douleur. Elle revient et me pique dans le bras, la faible douleur de cette injection de morphine n'est rien comparé à la douleur que j'éprouve. Au bout de quelques minutes, la douleur disparaît et je peux enfin me détendre. C'est à ce moment là que je remarque l'inquiétude de Tae, cette fois, impuissant.

On nous ramènes dans ma chambre qui temporairement deviens notre chambre. Une fois arrivé, le temps de faire un bisous à Taehyung et je m'endors. Je sens la chaleur de sa main sur la mienne et sa me réconforte.

Je me réveille quelques minutes assez pour voir Tae endormie sur mon bras perfusé de toute part et Eon-Jae entrer le plus discrètement possible. Puis encore très fatigué par mon opération comme pour ma nuit blanche, je me rendors.